Inventaire général du patrimoine culturel
Région des Pays de la Loire/Service du Patrimoine
Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire
inventaire topographique

Pays de la Loire, Maine-et-Loire

Angers

Ville d'Angers

Type de dossier : ensemble Oeuvre sélectionnée Date de l'enquête : 2002

Désignation

Dénomination : ville
Partie(s) constituante(s) non étudiée(s) : oppidum ; fortifications d'agglomération ; château fort ; cathédrale ; abbaye ; couvent ; église ; hôtel-Dieu ; hôtel de ville ; palais de justice ; demeure ; promenade ; université ; théâtre ; gare ; hôpital ; académie

Compléments de localisation

Numéro INSEE de la commune : 49007
Aire : Angers intra-muros ; Angers extra-muros
Milieu d'implantation : en ville
Cours d'eau : Maine (la)

Historique

Commentaire historique : Le site défensif d´Angers, un promontoire naturel surplombant la rivière de Maine sur la rive gauche, est occupé dès l´Age du fer par un oppidum. Une ville romaine est fondée sous l´empereur Auguste peu avant notre ère, sous le nom de Juliomagus (marché de Jules), centre administratif du peuple gaulois des Andecaves. La ville du Haut-Empire, établie sur la seule rive gauche, présentait une trame urbaine orthogonale régulière qui s´étendait de la colline de l´Esvière au sud à la place du Ralliement au nord. Sous le Bas-Empire, période des invasions barbares, la ville se rétracte sur son site défensif, protégée par une enceinte édifiée à la charnière des 3e et 4e siècles (dont vestiges) : cette antique civitas - actuel quartier de la Cité entre château et cathédrale - est sous la protection d´un évêque ou défensor, attesté un siècle plus tard.

Pendant le Haut Moyen Age, les premières institutions religieuses et politiques se mettent en place ; à partir du 6e siècle, une nébuleuse d´abbayes et d´églises fondées à l´est et au nord de la Cité (abbaye Saint-Aubin, églises paléochrétiennes du Ralliement) engendrent ponctuellement de nouveaux noyaux de peuplement. Aux 8e et 9e siècles, face au péril normand s´affirme progressivement un premier pouvoir comtal, dont la résidence est établie sur le site du château. Aux 10e-12e siècles, durant les dynasties comtales des Ingelgériens puis des Plantagenêts, la ville acquiert une importance nouvelle, au sein d´une immense entité politique allant de l´Angleterre à l´Aquitaine. C´est une époque de grandes extensions et de constructions : un bourg commerçant attesté en 924 et protégé d´une enceinte, se développe au nord de la Cité, sur la pente du versant entre la rue Saint-Laud (ancien cardo) et la rivière. Au 11e siècle, l´urbanisation franchit la Maine peu après la reconstruction en pierre du pont et la fondation en 1028 de l´abbaye Notre-Dame (ou Ronceray), donnant lieu à un bourg, futur quartier de la Doutre (d´outre Maine) ; l´hôtel-Dieu Saint-Jean sera également implanté sur cette rive en 1175. Sur la rive opposée, le château fort, la cathédrale, les abbayes, collégiales et églises paroissiales sont reconstruits ou nouvellement édifiés. Cette renaissance urbaine atteint son apogée avec l´entrée d´Angers dans le domaine royal au début du 13e siècle : sous la régence de saint Louis, une imposante forteresse et une vaste enceinte urbaine, édifiées durant les années 1230, cernent la ville dans des limites maintenues jusqu´à la fin de l´Ancien Régime et toujours inscrits dans l´anneau de boulevards qui cernent le centre historique.

Aux lendemains de la guerre de Cent ans, Angers connaît à nouveau une période de prospérité jusque dans le 1er quart du 17e siècle, qui se traduit par un profond renouvellement de l´habitat le long d´un réseau de voirie désormais définitivement constitué. Des maisons à façade en pan de bois sont construites le long des rues commerçantes jusqu´à la fin du 16e siècle, et de nombreux hôtels sont édifiés, notamment sur les hauteurs des deux rives. Ces derniers se remarquent particulièrement dans un quartier spécifique en plein développement, autour de la place des Halles au nord-est de la ville intra-muros, secteur des familles de notables gravitant autour de l´hôtel de ville et du palais de justice nouvellement construits. L´activité marchande y est affirmée par la création d´un canal et d´un bassin portuaire dus au maire Pierre Ayrault en 1556, qui seront peu après reliés à la place par la rue du Commerce.

Aux 17e et 18e siècles, les aménagements urbains sont minimes (percement de la rue Boisnet) ou ne voient pas le jour (quais ou places de la rive gauche). Les interventions édilitaires résident essentiellement dans la création de promenades sur la rive gauche. Après le Grand mail tracé en 1617 sur une initiative privée (avenue Jeanne-d´Arc), d´autres suivront le long des fortifications, sous l´impulsion des maires. La vieille place des Récollets (de l´Académie) n´est même pas redessinée en accompagnement de l´Académie royale d´équitation, seul monument public d´importance au milieu du 18e. Les nombreuses communautés religieuses ou caritatives qui s´implantent à Angers dans le premier quart du 17e siècle (17 au total), occupent pour moitié d´entre elles les hauteurs intra-muros des deux rives. Figurés pour la première fois en 1638 sur la vue de Claude Ménard, les six faubourgs d´Angers sont alors bien étoffés, sur la rive gauche - en particulier Saint-Michel vers Paris et Bressigny vers Tours ou Poitiers, comme sur la rive droite - Saint-Jacques vers Nantes et Saint-Lazare-Gauvin vers Rennes.

Durant la 1ère moitié du 19e siècle, la ville connaît un premier bouleversement issu de la vente, à la Révolution, des biens nationaux : la destruction totale ou partielle des édifices religieux, le déplacement des cimetières hors les murs, amène la création de la place centrale du Ralliement et le percement de plusieurs rues qui aèrent le centre-ville (rue des Lices, rue Chevreul, rue du Mail). Parallèlement, Napoléon autorise en 1807 la destruction des remparts et à leur place, un anneau de larges promenades est entrepris pendant la première moitié du 19e siècle, complété par deux nouveaux ponts sur la Maine (Haute et Basse-Chaîne). Signe de cette ouverture de la ville, l´hôtel de ville s´installe sur ces boulevards dans l´ancien collège des Oratoriens réaménagé. La réalisation des quais de la rive gauche s´échelonne des années 1820 au milieu du 19e siècle (quais René-Bazin et Ligny bordés d´immeubles concertés).

Mais c´est dans la 2e moitié du 19e siècle que les mutations essentielles interviennent, privilégiant la rive gauche : une large partie du centre-ville est restructurée par le redressement d´anciennes voies (Roë, Plantagenêt, Lenepveu) ou le percement de nouvelles rues (Alsace, Voltaire) autour de la place du Ralliement remodelée, cœur de la ville haussmannienne ; la construction d´un grand théâtre symbolise cette nouvelle centralité. En 1849, l´arrivée du chemin de fer amorce les extensions suburbaines du centre-ville : quartiers autour de la gare au sud, quartiers cossus Saint-Joseph-université catholique au sud-est et à l´est, quartiers populaires Saint-Michel-Pasteur et de la Chalouère au nord et au nord-est. Les faubourgs linéaires s´allongent au-delà, particulièrement en direction de Trélazé et sur la route de Paris. Les zones d´activités industrielles (textiles) et artisanales se recensent au sud, vers la gare, et surtout au nord-est (Usines Bessonneau). Le quartier de la Doutre, sur la rive droite, bénéficie moins de ces développements : cependant, des percements sont réalisés dans la partie sud et en bordure de la rivière, régularisée notamment par le rattachement des îles ; la création d´un hôpital moderne au nord confirme la pérennité des institutions hospitalières sur cette rive.

Après cette période dynamique qui s´achève en 1914, l´Entre-deux-guerres est une phase d´atonie : l´expansion de la ville est quasi-inexistante se limitant à quelques lotissements pavillonnaires Art-Déco, implantés dans ou en bordure des extensions du centre-ville. Après 1945 au contraire, l´explosion démographique et l´essor économique des Trente Glorieuses engendrent l´urbanisation de l´ensemble du territoire communal : de grands ensembles sont planifiés, Belle-Beille à l´ouest (dès les années 1950), Monplaisir au nord, la Roseraie au sud, pour citer les plus importants. Le centre historique et ses abords immédiats sont sensiblement rénovés, quartiers Saint-Nicolas et République en intra-muros, quartiers Saint-Michel et Louis-Gain en extra-muros. Les années 1980 donnent naissance à une nouvelle génération d´aménagements dont témoigne le quartier du Lac-de-Maine, au sud-ouest. Le prochain quartier des Capucins, au nord-ouest, dernière zone encore agricole, achèvera le rééquilibrage urbain des deux rives. Aujourd´hui, l´urbanisation a largement dépassé le territoire communal, et toutes les communes limitrophes sont désormais les nouveaux quartiers d´une plus vaste agglomération structurée par les autoroutes Paris-Nantes (qui passe en plein centre-ville mais sera bientôt déviée par le nord), et Angers-La Roche-sur-Yon, ainsi que des voies rapides de contournement.
Datation(s) principale(s) : Age du fer ; Antiquité ; Moyen Age ; Temps modernes ; Epoque contemporaine

Description

Commentaire descriptif : Occupant une position centrale dans la région des Pays de la Loire, la ville d´Angers se situe au cœur du département de Maine-et-Loire et de ses différents pays, Segréen et Baugeois au nord, Mauges et Saumurois au sud, Vallée au milieu (pour l´essentiel des paysages de bocage, et de vignes dans le Saumurois). Elle est implantée sur les dernières bandes schisteuses du Massif armoricain au contact des affleurements calcaires du Bassin parisien, induisant cette mixité de matériaux si caractéristique d´Angers, schiste sombre et tuffeau blanc. Bien qu´établie de part et d´autre de la Maine, courte mais large rivière issue de la réunion de la Mayenne, de la Sarthe et du Loir, la ville relève pleinement du val de Loire (le fleuve est à cinq kilomètres plus au sud) et appartient à cette suite de villes « parentes » qui en scandent à intervalles régulier le cours, d´Orléans à Nantes en passant par Blois, Tours et Saumur. Elle est également, tant par le train à grande vitesse que par l´autoroute, sur l´axe Paris-Nantes, villes avec lesquelles Angers est en relations privilégiées.

Le site même de la ville est remarquable : sur les quelque dix kilomètres de la Maine, constitués d´une suite de bassins marécageux entrecoupés de traversées de bandes schisteuses, la cité est implantée au resserrement le plus septentrional, où des îles rétrécissaient le cours, facilitant son franchissement ; un éperon de plus de 30 mètres domine ce passage, prolongé par un vaste plateau qui permet à la principale rive de la ville de s´étendre loin des terres inondables. Le site de la ville apparaît ainsi comme un lieu de passage sur une des grandes voies naturelles françaises (d´autant plus quand la Loire était jusqu´au 19e siècle un fleuve navigable au trafic intense) mais aussi comme un site défensif. La commune s´étend sur 4448 hectares dont un tiers relève de grandes réserves naturelles (Lac-de-Maine, étang Saint-Nicolas, île Saint-Aubin). Le territoire est pour le reste entièrement urbanisé, à l´exception d´un plateau encore agricole de 240 ha (plateau des Capucins) au nord-ouest, dont l´urbanisation - longtemps gelée en attendant la réalisation du tracé autoroutier de contournement nord de la ville - est aujourd´hui en cours.

Situation juridique

Statut de la propriété : propriété privée



Illustrations

Fig. 1
Commune d'Angers : état de l'urbanisation en 2009.
Fig. 2
Commune d'Angers : état de l'urbanisation en 1914.
Fig. 3
Plan restitué des fortifications d'agglomération.
Fig. 4
Vue cavalière d'Adam Vandelant, 1576 : la ville, Cité, et université d'Angers, vue cavalière de la ville intra-muros dans l'axe de la rivière depuis l'amont.
Fig. 5
Andegavum Vernaculo Angiers, 1638. Portraict av vray de la ville et favx-bovrgs d'Angers, gravure, d'après le plan de Claude Ménard, 1638.
Fig. 6
Vue cavalière de la ville et faubourgs, (1640), prise depuis l'amont de la Maine. Variante de la vue de Claude Ménard avec encadrement d'architecture, eau-forte, 1640.
Fig. 7
Plan figurant la ville d'Angers intra-muros, détail extrait de la Carte Générale du Diocèse d'Anjou dite la Grande Arthaud, gravure aquarellée, d'après Jean Le Loyer, 1652.
Fig. 8
Plan de la ville et faubourgs d'Angers et de ses environs par Thibaudeau, 1704 : vue d'ensemble.
Fig. 9
Plan des échevins, 1736 : nouveau plan de la ville d'Angers Enrichi de la Carte des Environs et de la Perspective de la Ville avec Ses Principalles Maisons.
Fig. 10
Plan historique de la ville d'Angers... Plan géométral de la ville, levé par J.-B. Dubois, et M.-A. Moithey, gravure, 1776.
Fig. 11
Plan général des établissements religieux et hospitaliers de la rue Lionnaise, avec les alignements de voirie (en jaune : démolition, en rose : construction), par L. François, 1808.
Fig. 12
Plan général des établissements religieux et hospitaliers de la rue Lionnaise, 1808 : légende du plan.
Fig. 13
Plan géométrique de la ville d'Angers (1844) dressé d'après les éléments du cadastre : vue générale, par H. Priston, 1844.
Fig. 14
Nouveau Plan d'alignement de la ville d'Angers, 1844 : ensemble des 12 planches (assemblage photographique), dessin aquarellé, par T.Tardif-Desvaux, 1844.
Fig. 15
Nouveau Plan d'alignement de la ville d'Angers, 1844, extrait : le centre-ville dans sa ceinture de boulevards, dessin aquarellé, par T. Tardif-Desvaux, 1844.
Fig. 16
Plan au sol des maisons de la rue de la Boucherie et de ses abords, avec l'emprise de la future rue Plantagenêt, par la Ville d'Angers, v. 1850 .
Fig. 17
Plan géométrique de la ville d'Angers (1866) d'après le plan du cadastre modifié conformément à l'état actuel de la ville : vue générale, par A. Duveau, 1866.
Fig. 18
Nouveau plan d'Angers monumental, industriel et commercial. Offert par la maison Cointreau - 1895, détail : partie centrale de la ville, par la Sté des plans Monumentaux de France, 1895.
Fig. 19
Plan de la ville d'Angers, par Hézard et Baron, 1907.
Fig. 20
Commune d'Angers. Plan d'aménagement, d'embellissement et d'extension. Déclaré d'utilité publique par décret en date du 27 février 1936.
Fig. 21
Extrait de la carte géologique de la France, 1976.
Fig. 22
Extrait de la carte topographique IGN, 1989.
Fig. 23
Angers, vue en ballon prise depuis le sud-ouest, au-dessus de l'abattoir, lithogr., par L.-J. Arnout, [v. 1840].
Fig. 24
Vue en ballon depuis le nord-est, [v. 1840], au-dessus de la place du Pélican, lithogr., par Gueston, [v. 1840].
Fig. 25
Angers en 1878, vue en ballon prise depuis le sud, au-dessus du quartier Saint-Laud : vue générale, lithogr., par A. Mollay [1878].
Fig. 26
Angers, autrefois. Vue prise en 1865, des tours de la Cathédrale : quartier de la Doutre avec le quai des Carmes au second plan, carte postale, d'après photogr., de R. Rivière début 20e siècle.
Fig. 27
Angers - Panorama pris en ballon vers la Gare St-Serge et la Maine, Carte postale, d'après photogr., 20e siècle.
Fig. 28
Rive gauche de la Maine. La rive droite depuis un tour du château. Au 1er plan, à gauche : quai des Carmes, place de La Rochefoucault avec l'école des Arts avant remaniement. Au fond, pont de fer de la Haute-Chaîne, photogr., entre 1885 et 1900.
Fig. 29
Vue aérienne de la rive droite et des bords de Maine, avec le quartier de l'Esvière et le château au 1er plan, depuis le sud-ouest, photogr., [v. 1930].
Fig. 30
Centre ville. La Cité. Vue aérienne sur le quartier du Port Ligny depuis l'est. Au fond l'ancienne île des Carmes, photogr., de J. Evers, [v. 1920].
Fig. 31
Vue aérienne du quartier de la Cité, partie sud, avec le château au second plan, photogr., de J. Evers, [v. 1920].
Fig. 32
Rive droite et rive gauche de la Maine. Angers. Vue générale. Au 1er plan, à gauche la rue des Lices, à droite, le jardin des Beaux-Arts. A second plan, le boulevard du Roi-René et l'église Saint-Laud. Au fond la Maine, photogr., 1ère moitié 20e siècle.
Fig. 33
Vue aérienne, vers 1925, de la rive gauche avec le château au 1er plan.
Fig. 34
Vue aérienne d'Angers depuis l'ouest, centrée sur le château et ses environs, photogr., [cliché n° 767], vers 1925.
Fig. 35
Vue aérienne de la rive gauche. Au 1er plan : le château, la caserne et l'église de la Visitation. Au second plan, la cathédrale et la tour Saint-Aubin. Au dernier plan, le palais de justice et l'église Saint-Joseph, photogr., [1929].
Fig. 36
Vue aérienne d'Angers du sud-est vers le nord-ouest, avec l'abbaye Saint-Aubin au 1er plan, photogr., [cliché n° 663], milieu des années 1920.
Fig. 37
Vue aérienne du secteur sud-est du centre-ville, entre tour Saint-Aubin et Logis Barrault, depuis le nord-ouest, photogr., de J. Evers, [v. 1920].
Fig. 38
Partie sud de la ville intra-muros et quartier gare. Au centre de l'image, l'abbaye Toussaint, vue aérienne prise depuis le nord, photogr., de J. Evers, 1920.
Fig. 39
Vue aérienne de la rive gauche avec l'abbaye Saint-Aubin au 1er plan, le centre-ville avec la place du Ralliement au second plan, photogr., [1929].
Fig. 40
Vue aérienne d'Angers du nord-est vers le sud-ouest, avec la place du Ralliement et le théâtre au centre, vers 1925, photogr., [cliché n° 769], milieu des années 1920.
Fig. 41
Vue aérienne de la Doutre nord, à hauteur du bd Daviers (au 1er plan), vers l'hôpital Saint-Jean et les Arts-et-Métiers, photogr., par Heurtier, 1963.
Fig. 42
Vue aérienne de la Doutre nord, à hauteur du couvent du Calvaire (au 1er plan) et de la place du Docteur-Bichon (au second plan), photogr., de J. Evers, [v. 1960].
Fig. 43
Vue aérienne du centre ville et au-delà du quartier extra-muros Saint-Serge, depuis la tour nord de la cathédrale, avec au 1er plan le grand magasin dit Le Palais des Marchands, carte postale, d'après photogr., 1er quart 20e siècle.
Fig. 44
Vue aérienne d'Angers centrée sur la place Louis- Imbach (au 1er plan), la place du général Leclerc et le jardin du Mail, photogr., [cliché n° 769], milieu des années 1920.
Fig. 45
Vue aérienne de la rive gauche depuis l'ouest, années 1970. Au 1er et 2e plan, montée Saint-Maurice, cathédrale et partie nord de la Cité épiscopale, photogr., de G. Karcher, [années 1970].
Fig. 46
Vue vers la rive gauche. Au 1er plan, les quais de la Maine avec le pont du Centre. En arrière plan, l'évêché, la cathédrale Saint-Maurice et la Tour Saint-Aubin, photogr., [v. 1870].
Fig. 47
Centre ville. La Cité. Angers - Vue générale prise du Château. Au fond, à gauche, la cathédrale Saint-Maurice, à droite la tour Saint-Aubin, carte postale, d'après photogr., [début 20e s. ?].
Fig. 48
Andegavum vulgo Angiers, 1561: vue d'ensemble de la rive gauche d'Angers depuis le secteur des Capucins sur la rive droite où sont occupés des fendeurs d'ardoise, Gravure coloriée, d'après dessin, par Hougfnaglius, 1561.
Fig. 49
Rive droite et rive gauche de la Maine. Andegavum, 1770. La ville vue de l'aval, de la prairie de l'Alloyau sur la rive droite, gravure aquarellée, par P.-J. Mariette, [v. 1770].
Fig. 50
Annages défensifs de la Basse-Chaine vus depuis l'aval : détail de la gravure Andegavum, par P.-J. Mariette, [v. 1770].
Fig. 51
Vue depuis le nord avec le pont de la Haute-Chaîne en 1er plan. (catalogue n° 3), lithogr., de L.-A. Asselineau, 19e siècle.
Fig. 52
Port Ligny, au pied du château : vue d'ensemble du sud vers le nord, dessin, par J.-J. Champin, 1ère moitié 19e siècle.
Fig. 53
Le canal des Tannerie, vue depuis l'aval, en 1835. Au centre, le clocher de la Trinité, au fond, le petit pont de la Tannerie, dessin, par P. Hawke, 1835.
Fig. 54
Canal du Rideau : vue depuis l'amont, avec à droite le logis de Bellebranche et l'église de la Trinité, dessin, par F. Benoist, [v. 1840].
Fig. 55
Canal du Rideau (aujourd'hui bd du Ronceray), avec le clocher de la Trinité au fond, lithogr., [v. 1840].
Fig. 56
La rive gauche. Angers. - Le Pont de la Basse-Chaîne et le Château. - ND Phot., vue prise en aval depuis la rive droite face au quai du Roi-de-Pologne, carte postale d'après photogr., début 20e siècle.
Fig. 57
Vue générale du quai Ligny en contrebas du château, depuis la rive opposée côté Doutre, photogr., 2e moitié 19e siècle.
Fig. 58
Rive gauche de la Maine. Cathédrale et quai Ligny (détruit), carte postale, d'après photogr., [s. d.].
Fig. 59
La Doutre. Quai des Carmes et cale de la Savatte depuis la rive gauche, photogr., [av. 1889].
Fig. 60
Vue d'ensemble du quai des Carmes, photogr., entre 1886 et 1889.
Fig. 61
La Doutre. Vue de situation depuis la rive gauche à la fin du 19e siècle. A gauche, le Pont de Verdun, à droite la Maison des Bains, photogr., fin 19e siècle.
Fig. 62
Bords de la Maine sur la rive droite, entre le pont des Treilles, en fond à gauche, et l'hôpital Saint-Jean au 1er plan, photogr., 2e moitié du 19e siècle, photogr., 2e moitié 19e siècle..
Fig. 63
Rive droite en amont, à hauteur de l'ancien hôpital Saint-Jean et de l'hospice Sainte-Marie (actuel CHU), vue depuis la cathédrale, photogr., [v. 1880].
Fig. 64
Village de Reculée sur la rive droite, vue depuis l'amont avec les jardins suspendus ponctués de pavillons, vue depuis l'aval, carte postale, début 20e siècle.
Fig. 65
Etang Saint-Nicolas et maisons de Roc-Epine, sur la rive droite de la Doutre, cartes postales, début 20e siècle.
Fig. 66
Rue Baudrière, partie haute, vers la rue de l'Aiguillerie et du Chanoine Urseau (à droite), lithogr., par P. Hawke, 1839.
Fig. 67
Rue Baudrière, en direction du pont, à hauteur des n°60-62, photogr., [v. 1891].
Fig. 68
Partie médiane de la rue Baudrière, front nord, photogr., 1891.
Fig. 69
Partie basse de la rue Baudrière (anciens n° 22-28), avec au fond la fontaine Pied-Boulet, détail d'une photogr., en 1979.
Fig. 70
Perspective sur la cathédrale depuis le bas de la rue Baudrière, photogr., 1975.
Fig. 71
La Montée Tire-Jarret, depuis la rue Baudrière, photogr., [av. 1913].
Fig. 72
Angers, rue Saint-Aubin, depuis le carrefour avec les rues des Lices et Voltaire, avec la cathédrale en fond, carte postale d'après photogr., début 20e siècle.
Fig. 73
Perspective vers la cathédrale depuis la rue Saint-Aubin, à hauteur de l'ancienne hôtellerie du Cheval-blanc (n°12-14), carte postale, début 20e siècle.
Fig. 74
Rue Saint-Laud, partie sud, vers la rue de la Roë et la Cité, photogr., de J. Evers, début 20e siècle.
Fig. 75
Rue Pocquet-de-Livonnières, vue d'est en ouest, vers l'église Notre-Dame. Au second plan à droite, le Présidial, photogr., fin 19e siècle.
Fig. 76
Place du Ralliement, front ouest, entre les rues des Deux-Haies et de la Roë, photogr., vers 1860.
Fig. 77
Place des Halles, actuelle place Louis-Imbach, vue d'ensemble depuis l'est, à hauteur de la rue Jules-Guitton, carte postale, d'après photogr., 1ère moitié 20e siècle.
Fig. 78
La rue Maillé lors de l'inondation de 1910, photogr., [début 20e siècle].
Fig. 79
Bas de la Montée Saint-Maurice, avec les petites maisons du front nord, photogr., de L.-A. Tessier, [v. 1911].
Fig. 80
Montée Saint-Maurice, au carrefour avec l'ancienne rue Tuliballe, photogr., [av. 1918].
Fig. 81
Carrefour de la rue Baudrière et de la Montée Saint-Maurice, à hauteur de la fontaine Pied-Boulet, carte postale, d'après photogr., de R. Rivière, début 20e siècle.
Fig. 82
Rue Donadieu-de-Puycharic, à hauteur de l'hôtel n° 3, vue vers nord en direction de la Montée Saint-Maurice, photogr., [années 1920-1930].
Fig. 83
Rue du Port-Ligny en axe nord-sud depuis la place Loricard, dessin, par F. Benoist, v. 1840.
Fig. 84
Front est de la place Cupif, vers la rue du Petit-Prêtre, photogr., [av. 1918].
Fig. 85
Ancien quartier de la République, rue de l'Epicier vue depuis la place Cupif, photogr., fin 19e siècle.
Fig. 86
Rue du Musée avant la création de la place Saint-Eloi, avec à droite le portail du Grand Séminaire au n° 14, photogr., [début 20e siècle].
Fig. 87
Rue David-d'Angers, front sud, vers la rue des Ursules et la place Falloux, photogr., [v. 1960].
Fig. 88
La rue des Lices, vue en axe sud-nord vers la Tour Saint-Aubin, carte postale, d'après photogr., début 20e siècle.
Fig. 89
Angers, carrefour Rameau, au centre la rue de l'Aiguillerie, carte postale, par C.L.C., [début 20e siècle].
Fig. 90
Rue Chaussée-Saint-Pierre vers le Ralliement, carte postale, fin 19e siècle-début 20e siècle ?
Fig. 91
La rue d'Alsace, front pair, vers les Nouvelles Galeries et la place du Ralliement, Carte postale, d'après photogr., début 20e siècle.
Fig. 92
Angers - Rue d'Alsace : vue depuis le boulevard Maréchal Foch, carte postale, début 20e siècle.
Fig. 93
Place Hérault, front nord vers le boulevard Ayrault, vue depuis la rue Boisnet, carte postale, début 20e siècle.
Fig. 94
Angers, place Molière, rue de la Roë, avec le cirque-théâtre, à droite, carte postale, [début 20e siècle].
Fig. 95
Boulevard du Maréchal-Foch. "Boulevard de Saumur", vue générale : la rue d'Alsace au 1er plan à droite du document, photogr., d'après carte postale, [début 20e siècle]
Fig. 96
Boulevard du Général-de-Gaulle. 111 - Angers. Boulevard du Château et Statue du Roi René, carte postale, d'après photogr., [début 20e s.].
Fig. 97
Front de la rue de Bel-Air, entre les rues de Brissac et le pont de Contades en travaux, photogr., 1982.
Fig. 98
Tranchée du chemin de fer à hauteur des rues de Bel-Air (à gauche) et du Haras (à droite). Au second plan, silhouette de tour cénelée de la maison Hodée.
Fig. 99
Pont de Verdun et entrée de la rue Beaurepaire, carte postale, début 20e siècle.
Fig. 100
Rue Beaurepaire, vers l'église de la Trinité, vue prise à hauteur du n° 14 ( 1er plan à droite sur l'image), photogr., s. d.
Fig. 101
Rue Mauvaise, vue en direction de la rue Beaurepaire, photogr., début 20e siècle.
Fig. 102
Place de la Laiterie et église de la Trinité, depuis l'ouest, carte postale, début 20e siècle.
Fig. 103
Place de la Laiterie, dans la Doutre : front ouest, avec les départs du boulevard Descazaeaux et de la rue Lionnaise, carte postale, d'après photogr., de R. Rivière, début 20e siècle.
Fig. 104
Entrée de la rue Saint-Nicolas, vue depuis la place de la Laiterie, dessin, par F. Benoist, v. 1840.
Fig. 105
Rue Saint-Nicolas : partie sud-ouest, avec deux maisons anciennes encadrant la rue Saint-François (au 1er plan à gauche,), carte postale, d'après photogr., de R. Rivière, [début 20e siècle].
Fig. 106
Rue Saint-Nicolas, vers la place de la Laiterie, à hauteur de la rue de Normandie (à droite), carte postale, début 20e siècle.
Fig. 107
Rue Saint-Nicolas, vers 1960 : maisons n° 42 (1er plan) à 52 (ou 8e maison, avec pignon sur rue au second plan), vers la 12e maison (pignon sur rue en arrière plan ). Vue prise depuis l'intersection avec la rue Descartes, photogr., Henguehard, [v. 1968].
Fig. 108
Maisons et immeubles. ANGERS. Place et statue de Grégoire Bordillon, carte postale, début 20e siècle.
Fig. 109
Rue des Tonneliers, en axe nord-sud, vers les anciennes rues Corne-de-Cerf et Saint- François, photogr., de P. Mornet, [v. 1960].
Fig. 110
Rue des Tonneliers, vers le croisement des rues Corne-de-Cerf et Saint- François, photogr., 1960.
Fig. 111
Hôtels de la place du Tertre, (n°14 à 8), photogr., début 20e siècle.
Fig. 112
Vue de l'ancienne rue Creuse-du-Tertre, depuis le Tertre Saint-Laurent, photogr., [début 20e siècle].
Fig. 113
Angle de la rue Creuse-du-Tertre et de la longue rue Saint-Jean dans la Doutre, photogr., années 1870.
Fig. 114
Rue Saint-Jean, front est : vue vers nord, en direction de l'hôpital Saint-Jean, photogr., années 1870.
Fig. 115
Rue Saint-Jean : la cour dite du Carreau et son puits (cadastre 1840 G 326). A gauche, revers d'une maison de la rue Saint-Jean (G 323-325), dessin, par V. Huault-Dupuy, 1891.
Fig. 116
Boulevard Saint-Michel. Angers - Entrée du Faubourg Saint-Michel, carte postale, d'après photogr., début 20e siècle.
Fig. 117
Vue aérienne du château et de la rivière, depuis le quartier de la gare.
Fig. 118
Vue aérienne du centre ville avec le château au premier plan, depuis le sud-ouest.
Fig. 119
Vue aérienne de la Cité, avec la cathédrale.
Fig. 120
Vue aérienne, depuis le nord, à hauteur du pont de Verdun, avec château, Cité et promenade Jean-Turc, à gauche de la voie rapide le long de l'ancien quai Ligny (détruit).
Fig. 121
La Doutre. Rive gauche. Vue aérienne. La rue Beaurepaire, le pont de Verdun.
Fig. 122
Centre ville. Cathédrale et îlots compris entre la place Freppel et la rue des Lices (en bas à droite).
Fig. 123
Centre ville. Vue aérienne. La Cité (à gauche) et le centre ville (à droite). De gauche à droite : rue des Lices, tour Saint-Aubin, rue Saint-Aubin, rue Voltaire.
Fig. 124
Vue aérienne de la cathédrale depuis l'est, avec la rue Saint-Aubin au 1er plan et la rivière et le quartier de la Doutre en arrière-plan.
Fig. 125
Centre ville. Vue aérienne prise à hauteur du boulevard du Maréchal-Foch. A gauche, la rue Saint-Aubin.
Fig. 126
Centre ville. Photo aérienne. Vue prise à hauteur de la Grande Poste.
Fig. 127
Centre ville. Vue aérienne. Vue à hauteur de la rue Franklin-Roosevelt. Au centre, les Nouvelles Galeries et la place du Ralliement.
Fig. 128
Cité. Vue aérienne, de la rue Toussaint (au premier plan) à la Maine.
Fig. 129
Centre ville. La Cité, à hauteur des rues Saint-Christophe, des Jacobins, du Vollier.
Fig. 130
La cathédrale et le quartier de la Cité : vue depuis le château.
Fig. 131
Centre ville. Vue sur la place Sainte-Croix. A droite entrée de la rue Saint-Aubin.
Fig. 132
Centre ville. Ilot compris entre la rue Saint-Aubin (n° 19 à 27) au premier plan et la rue Corneille.
Fig. 133
La Doutre. Vue aérienne, en axe nord-est, sud-ouest depuis le Tertre Saint-Laurent au quartier Saint-Nicolas.
Fig. 134
La Doutre. Vue aérienne. Rue Beaurepaire, les quartiers des Carmes et de Saint-Nicolas, depuis l'est.
Fig. 135
Doutre. Rive droite depuis le sud-ouest : le faubourg Saint-Jacques au premier plan.
Fig. 136
La Doutre. Rue Beaurepaire (en bas) et place de la Laiterie (en haut à droite).
Fig. 137
La Doutre : vue sur l'hôtel d'Andigné, l'abbaye du Ronceray et l'église de la Trinité, rive gauche, au fond la cathédrale Saint-Maurice.
Fig. 138
Quartier de la Doutre. L'abbaye du Ronceray (aile nord du cloître) depuis le clocher de l'église de la Trinité : en arrière plan, les demeures du secteur du Tertre.
Fig. 139
La Doutre. Jardins de la rue de l'Hommeau. Au premier plan, l'hôtel 12 place du Tertre. Au fond, le reposoir du Tertre-Saint-Laurent et les Greniers Saint-Jean.
Fig. 140
La Doutre. Place de la Paix et rue de l'Hommeau. Au premier plan, à gauche, pavillon de l'hôtel du Guesglin.
Fig. 141
Site d'Angers. Château et flèche de la cathédrale. Pont de la Basse-Chaîne.
Fig. 142
Le pont de Verdun et la Cité épiscopale, vus en amont depuis le quai Robert Fèvre sur la rive droite.
Fig. 143
Quai et promenade du quai Ligny au pied du rocher de la Cité et du château : vue depuis le pont de Verdun.
Fig. 144
Front nord du boulevard du Roi-René, entre l'entrée du Jardin des Beaux-Arts et le château.
Fig. 145
Boulevard du Maréchal-Foch. Elévations antérieures, à hauteur des n° 5 et 15.
Fig. 146
Boulevard du Maréchal-Foch. Elévations sur rue à hauteur des n° 63 à 45. A droite sur le document, la rue du Haras.
Fig. 147
Montée Saint-Maurice, vue d'est en ouest vers la Maine et le quartier de la Doutre.
Fig. 148
Carrefour Saint-Paul - rue Donadieu de Puycharic, à hauteur de la maison canoniale Sainte-Marie (au second plan).
Fig. 149
Entrée de la rue Donadieu-de-Puycharic, depuis la montée Saint-Maurice.
Fig. 150
Rue Donadieu-de-Puycharic, vue vers le sud-ouest en direction du château depuis le carrefour avec la rue Saint-Paul ; à gauche, la maison canoniale Saint-Martial, au n° 1 de la rue.
Fig. 151
Rue Saint-Aignan, vue vers le nord ; au premier plan, à droite, les demeures aux n° 9 et 11, et en fond, la maison canoniale Saint-Martial (1, rue Donadieu-de-Puycharic - 2, rue Saint-Aignan).
Fig. 152
Entrée sud de la rue Saint-Aignan, avec au fond le logis du Croissant
Fig. 153
Rue Saint-Aubin : partie ouest de la rue, vue vers l'ouest en direction de la cathédrale, depuis l'intersection avec la rue des Lices.
Fig. 154
Rue Voltaire, front de rue pair n°10 à 2, vers le Carrefour Rameau .
Fig. 155
Place du Ralliement, fronts sud et ouest, vue d'ensemble depuis la rue Saint-Maurille au nord-est.
Fig. 156
Carrefour Rameau, vu depuis la rue Chaperonnière, avec la rue Chaussée Saint-Pierre en arrière-plan ; à droite le débouché des rues Saint-Julien et Voltaire.
Fig. 157
Rue de la Roë : vue d'ensemble depuis le haut de la rue, côté sud, avec l'immeuble, 2 place du Ralliement au premier plan.
Fig. 158
Rue Plantagenêt, partie basse : front nord entre les rues Parcheminerie et Bodinier.
Fig. 159
Rue David-d'Angers, à hauteur de la rue Grandet, vue vers le nord-ouest en direction de la place Falloux.
Fig. 160
Rue du Mail, front pair, entre la place du Pilori et la rue Boisnet. A gauche, départ de la rue des Poëliers.
Fig. 161
Rue Lenepveu, front pair (n°2 à 12) vue depuis la place du Pilori.
Fig. 162
Rue Saint-Laud, façades n° 13 à 21.
Fig. 163
Impasse Fourmi, vue depuis son entrée, rue Saint-Laud.
Fig. 164
Rue des Poëliers, front pair (à hauteur du n°25), vers la place du Pilori.
Fig. 165
Rue Pocquet-de-Livonnières, partie est bordant la place Louis-Imbach : n° 48 à 30, vers l'église Notre-Dame.
Fig. 166
Rue du Cornet, à hauteur du n° 25, vue vers la rue du Commerce. Aux 2 et et 3e plans, hôtels d'angle n° 12 rue du Canal et 15 rue du Canal ( Gohin de Montreuil).
Fig. 167
La rue du Canal, avec l' hôtel Gohin de Montreuil (n°15) au 1er plan, à gauche.
Fig. 168
Partie haute de la rue Lionnaise à hauteur du couvent du Carmel, vers la place Bichon.
Fig. 169
Partie inférieure de la rue Lionnaise vers la place de la Laiterie. Au 1er plan, maisons n° 14 à gauche, et n° 11 à droite.
Fig. 170
Rue des Tonneliers, depuis la place Grégoire Bordillon vers la rue Beaurepaire.
Fig. 171
Quartier de la Doutre : entrée de la rue de la Censerie, depuis la place de la Laiterie.
Fig. 172
Rue de la Harpe, vue vers le nord en direction de la rue de l'Hommeau. Au premier plan à gauche, les vestiges du couvent des Augustins et à droite, l'hôtel de Beauveau au n° 7-9bis.
Fig. 173
Rue de l'Hommeau, dans la Doutre : front pair n°28 à 16 (à droite).
Fig. 174
Rue Vauvert, front pair, vers la rue du Calvaire, depuis le carrefour des rues de l'Hommeau, Malsou et de la Harpe.
Fig. 175
Rue Vauvert, vue à hauteur de l'hôtel Le Mazurier/d'Ambray (à droite), vers le carrefour des rues de l'Hommeau, Malsou et de la Harpe,
Fig. 176
Quartier Doutre. Couvertures successivement des maisons, 61-63, 59 et 57, rue Beaurepaire, vue depuis l´ouest.

Voir

Angers, Présentation de la commune d'Angers
Angers, Présentation de l'aire d'étude Angers extra-muros
Angers, Présentation de l'aire d'étude Angers intra-muros
Angers, L'urbanisme
Angers, Centre-ville (quartier), Beaurepaire (rue) 16 ; Tourelles (cour des), Ensemble d'édifices à cour commune dit Cour des Tourelles
Angers, Deux-Croix Banchais (quartier), Larévellière (rue) 129, Cimetière de l'Est
Angers, Centre-ville (quartier), Lices (rue des) 27 à 35, Lotissement concerté
Angers, Centre-ville (quartier), Louis-Imbach (place) 6 à 14 ; Saint-Etienne (rue) 2, 4, Ensemble d´édifices derrière façade
Angers, Centre-ville (quartier), Paix (place de la) 1 à 5, 2, 4, Lotissement de maisons d'artisans et de tisserands, dit La Rangée ou La Rangée des maisons
Angers, Centre-ville (quartier), Petites-Maisons (cour des) 18 à 24, Cité ouvrière dit Cour des Petites Maisons
Angers, Centre-ville (quartier), Roi-René (boulevard du) 35, Jardin public dit jardin fruitier, puis jardin des Beaux-Arts, actuel jardin du musée des Beaux-Arts
Angers, Centre-ville (quartier), Saint-Maurice (montée), Rue en escalier dite Montée Saint-Maurice
Angers, Centre-ville (quartier), Tertre-Saint-Laurent (place du), Cimetière paroissial Saint-Laurent ou de la Trinité, actuellement place du Tertre Saint-Laurent
Angers, Centre-ville (quartier), Voltaire (rue) 3 à 13, Ensemble d'édifices derrière façade
Angers, Capucins (quartier), Secteur urbain des Capucins
Angers, Centre-ville (quartier), Ensemble des fortifications d'agglomération de la ville d'Angers
Angers, Centre-ville (quartier), Place dite Carrefour Rameau
Angers, Centre-ville (quartier), Place du Ralliement
Angers, Centre-ville (quartier), Quai de la Poissonnerie, puis quai Bonaparte, puis quai Royal, puis quai National, puis quai René-Bazin
Angers, Centre-ville (quartier), Quai des Luisettes, puis quai Gambetta
Angers, Centre-ville (quartier), Quai Ligny
Angers, Centre-ville (quartier), Rue Botanique
Angers, Centre-ville (quartier), Rue de la Préfecture, puis rue Haute-Saint-Martin, actuelle partie sud de la rue Saint-Martin (n°26-31)
Angers, Centre-ville (quartier), Rue du Mail
Angers, Centre-ville (quartier), Paix (place de la), Ancien cimetière des pauvres, actuelle place de la Paix
Angers, Centre-ville (quartier), Tertre (place du), Cimetière paroissial Saint-Jacques, actuelle place du Tertre

Région des Pays de la Loire - Service du Patrimoine / Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire. Chercheur(s) : Letellier-d'Espinose Dominique ; Biguet Olivier. (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général ; (c) Ville d'Angers. Renseignements : Centre de ressources, 1 rue de la Loire, 44966 Nantes cedex 9, tél. 02 28 20 54 70 - courriel : doc.patrimoine@paysdelaloire.fr - Document produit par Renabl6 : (c) Pierrick Brihaye (Région Bretagne) / Yves Godde (Ville de Lyon)