Retrouvez ci-dessous le carnet de chants qui vous permettra de participer au final participatif des chorales place du Ralliement.
Et bam - Mentissa
Gare du Nord en novembre, les cheveux en pagaille
Comme une boule au ventre qui me tend, qui me tord et Paris qui s'étale
Tout à coup, me voilà, les jambes fébriles
Qu'elle est grande pour moi cette scène imposante où tout devient fragile
Et Bam, et bam, dans la poitrine Maman, je l'ai fait pour ça
Je veux pas, je veux pas l'Amérique
Je veux ce cœur qui bat
Et Bam, et bam, sur la musique Maman, je l'ai fait pour toi
Je veux pas, je veux pas l'Amérique
Envolée mon enfance, mais jamais rien n'efface
Les rêves ou la violence, ah oui, ça vous glace, mais c'est pour ça qu'on chante
Donnez-moi d'échouer et que vienne la pluie
On ne m'ôtera jamais que j'ai déjà gagné de nouveaux amis
(Refrain)
Et plus fort que ma voix, je l'entends frapper
Ce cœur qui bat et balaie mes larmes et mes pourquoi
Et Bam, et bam
Dans la poitrine
Maman, je l'ai fait pour ça
Je veux pas, je veux pas l'Amérique
Je veux ce cœur qui bat
Et Bam, et bam
Sur la musique
Messieurs, mesdames me voilà
Je veux pas, je veux pas l'Amérique
Je veux ce cœur qui bat (et bam, et bam)
Oh-oh, oh-oh (et bam, et bam)
Oh-oh, oh-oh (et bam, et bam)
Oh-oh, oh-oh
Je veux ce cœur qui bat
La Ballade nord-irlandaise
J'ai voulu planter un oranger
Là où la chanson n'en verra jamais
Là où les arbres n'ont jamais donné
Que des grenades dégoupillées
Jusqu'à Derry, ma bien-aimée
Sur mon bateau, j'ai navigué
J'ai dit aux hommes qui se battaient
Je viens planter un oranger
Buvons un verre, allons pêcher
Pas une guerre ne pourra durer
Lorsque la bière et l'amitié
Et la musique nous ferons chanter
Mmmmh
Ouh ouh ouh
Tuez vos dieux à tout jamais
Sous aucune croix, l'amour ne se plaît
Ce sont les hommes, pas les curés
Qui font pousser les orangers
Je voulais planter un oranger
Là où la chanson n'en verra jamais
Il a fleuri et il a donné
Les fruits sucrés de la liberté
C'est beau la vie - Jean Ferrat
Le vent dans tes cheveux blonds, le soleil à l'horizon
Quelques mots d'une chanson, que c'est beau, c'est beau la vie
Un oiseau qui fait la roue sur un arbre déjà roux
Et son cri par dessus tout, que c'est beau, c'est beau la vie.
Tout ce qui tremble et palpite, tout ce qui lutte et se bat
Tout ce que j'ai cru trop vite à jamais perdu pour moi
Pouvoir encore regarder, pouvoir encore écouter
Et surtout pouvoir chanter, que c'est beau, c'est beau la vie.
Le jazz ouvert dans la nuit, sa trompette qui nous suit
Dans une rue de Paris, que c'est beau, c'est beau la vie.
La rouge fleur éclatée d'un néon qui fait trembler
Nos deux ombres étonnées, que c'est beau, c'est beau la vie.
Tout ce que j'ai failli perdre, tout ce qui m'est redonné
Aujourd'hui me monte aux lèvres en cette fin de journée
Pouvoir encore partager ma jeunesse, mes idées
Avec l'amour retrouvé, que c'est beau, c'est beau la vie.
Pouvoir encore te parler, pouvoir encore t'embrasser
Te le dire et le chanter, oui c'est beau, c'est beau la vie
Mon homme - Mistinguette
Sur cette terre, ma seule joie, mon seul bonheur C'est mon homme
J'ai donné tout ce que j'ai, mon amour et tout mon cœur à mon homme
Et même la nuit, quand je rêve, c'est de lui, de mon homme
Ce n'est pas qu'il est beau, qu'il est riche ni costaud mais je l'aime, C'est idiot
On boit des coups, On se rend saouls
Je suis à bout, mais malgré tout, Que voulez-vous...
Je l'ai tellement dans la peau que j'en deviens marteau
Dès qu'il s'approche c'est fini je suis à lui
Quand ses yeux sur moi se posent
Ça me rend toute chose
Je l'ai tellement dans la peau qu'au moindre mot
Il m'ferait faire n'importe quoi, j’tuerais, ma foi
J'sens qu'il me rendrait infâme
Mais je suis une femme
Et, j'l'ai tellement dans la peau
Pour le quitter c'est fou ce que m'ont offert d'autres hommes
Entre nous, voyez-vous ils ne valent pas très cher tous ces hommes
La femme à vrai dire n’est pas faite pour souffrir par les hommes
Dans les bals, j'ai couru, afin de l'oublier j'ai bu rien à faire, j'ai pas pu
Quand il m'dit "viens", j’réponds de rien
Y a pas moyen, C'est comme un lien, Qui me retient
Je l'ai tellement dans la peau qu'j'en suis dingo
Que celle qui n'a pas aussi connu ceci
Ose venir la première me jeter la pierre
En avoir un dans la peau c'est le pire des maux
Mais c'est connaître l’amour sous son vrai jour
Et j'dis qu'il faut qu'on pardonne quand une femme se donne
À l'homme qu'elle a dans la peau
À l'homme qu'elle a dans la peau
C'est mon homme, c'est mon homme, c’est mon homme
À l'homme qu'elle a dans la peau
À l'homme qu'elle a dans la peau
C'est mon homme, c'est mon homme, c’est mon homme
Seras-tu là - Michel Berger
Et
quand nos regrets
viendront danser
autour de nous,
nous rendre fous
Seras-tu là ?
Pour
nos souvenirs
et nos amours
inconsolables,
inoubliables
Seras-tu là ?
Pourras-tu suivre
là où je vais ?
Sauras-tu vivre
Le plus mauvais,
la solitude, le temps qui passe et l'habitude
Regarde-les, nos ennemis, dis-moi que oui,
dis-moi que oui.
Quand nos secrets
n'auront plus cours
et quand les jours
auront passé
Seras-tu là ?
Pour,
pour nos soupirs
sur le passé
que l'on voulait,
que l'on rêvait
Seras-tu là ?
Pourras-tu suivre
là où je vais ?
Sauras-tu vivre
Le plus mauvais,
la solitude, le temps qui passe et l'habitude
Regarde-les, nos ennemis, dis-moi que oui,
dis-moi que oui.
La même - Gims/Vianney
Mes amis, entendez la vie que j'ai eue
Où les gens m'attendaient, je n'suis pas venu
Si je les emmêle, si je dérange
C'est qu'je suis un pêle-mêle, un mélange
J'suis trop compliqué, je n'choisirai jamais
Que les deux côtés, ne
Me demandez pas où je veux aller
Même les singes singent les sages
Et tous ces sages ont fait des cases où tous nous ranger
Eh, eh, aye aye aye
Aye, aye, aye
Si je vous gêne, bah c'est la même
Si je vous gêne, bah c'est la même
Eh, eh, aye aye aye
Aye, aye, aye
Si je vous gêne, bah c'est la même
Si je vous gêne, bah c'est la même
On prend des boîtes, on y range les gens qu'au fond jamais, jamais l'on ne comprend
Comme l'Homme est fait de mille boîtes, ces boîtes que l'on prend ne sont jamais assez grandes
J'ai suivi mille chemins et serré dix mille mains
On peut aimer Brel et Megui, aimer même nos ennemis
J'suis trop compliqué, je ne rentrerai jamais
Dans vos petites cases, je
Vis au jour le jour alors je zigzague
Toujours avec ces lunettes noires
J'entends les gens se demander : "Quand est-ce que tombe le masque ?"
Eh, eh, aye aye aye
Aye, aye, aye
Si je vous gêne, bah c'est la même
Si je vous gêne, bah c'est la même
Eh, eh, aye aye aye
Aye, aye, aye
Si je vous gêne, bah c'est la même
Si je vous gêne, bah c'est la même
T'es entré dans ma vie, ô ma liberté chérie
La vie, c'est des envies, l'envie avant les avis
T'es entré dans ma vie, ô ma liberté chérie
La vie, c'est des envies, l'envie avant les avis
Eh, eh, aye aye aye
Aye, aye, aye
Si je vous gêne, bah c'est la même
Si je vous gêne, bah c'est la même
Eh, eh, aye aye aye
Aye, aye, aye
Si je vous gêne, bah c'est la même
Si je vous gêne, bah c'est la même
Eh, eh, aye aye aye
Aye, aye, aye
Si je vous gêne, bah c'est la même
Si je vous gêne, bah c'est la même
Tu es mon autre - Lara Fabian/Maurane
Âme ou sœur, jumeau ou frère de rien mais qui es-tu
Tu es mon plus grand mystère mon seul lien contigu
Tu m’enrubannes et m’embryonnes et tu me gardes à vue
Tu es le seul animal de mon arche perdue
Tu ne parles qu’une langue aucun mot déçu
Celle qui fait de toi mon autre l’être reconnu
Il n’y a rien à comprendre et que passe l’intrus
Qui n’en pourra rien entendre car je suis seul à les entendre les silences et quand j’en tremble
Toi tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit
Moi je suis ton autre
Si nous n’étions pas d’ici
Nous serions l’infini
Et si l’un de nous deux tombe l’arbre de nos vies
Nous gardera loin de l’ombre entre ciel et fruit
Mais jamais trop loin de l’autre, nous serions maudits
Tu seras ma dernière seconde car je suis seul à les entendre les silences et quand j’en tremble
Toi tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit
Moi je suis ton autre
Si nous n’étions pas d’ici
Nous serions l’infini
Ouh____
Et si l’un de nous deux tombe
Le Blues du businessman - Starmania
J'ai du succès dans mes affaires, j’ai du succès dans mes amours, je change souvent de secrétaire
J'ai mon bureau en haut d'une tour d'où je vois la ville à l’envers, d'où je contrôle mon univers
J'passe la moitié de ma vie en l’air entre New York et Singapour, je voyage toujours en première
J'ai ma résidence secondaire dans tous les Hilton de la Terre, j’peux pas supporter la misère
Au moins es-tu heureux ?
J'suis pas heureux mais j'en ai l’air, j'ai perdu le sens de l’humour depuis qu'j'ai le sens des affaires
J'ai réussi et j'en suis fier au fond je n'ai qu'un seul regret, j’fais pas ce que j'aurais voulu faire
Qu’est c’que tu veux mon vieux ? Dans la vie on fait ce qu’on peut, pas ce qu’on veut !
J'aurais voulu être un artiste
Pour pouvoir faire mon numéro
Quand l'avion se pose sur la piste
À Rotterdam ou à Rio
J'aurais voulu être un chanteur
Pour pouvoir crier qui je suis
J'aurais voulu être un auteur
Pour pouvoir inventer ma vie
Pour pouvoir inventer ma vie
J'aurais voulu être un acteur
Pour tous les jours changer de peau
Et pour pouvoir me trouver beau
Sur un grand écran en couleur
Sur un grand écran en couleur
J'aurais voulu être un artiste
Pour avoir le monde à refaire
Pour pouvoir être un anarchiste
Et vivre comme un millionnaire
Et vivre comme un millionnaire
J'aurais voulu être un artiste
Pour pouvoir dire pourquoi j’existe
Respire Encore - Clara Luciani
Elle respire l'odeur des corps qui dansent autour d'elle dans l'obscurité
Ils s'effleurent sans timidité une insolence chorégraphiée
Elle veut pas s'asseoir, elle veut s'oublier
Elle veut qu'on la drague, qu'on la regarde et qu'on la fasse tourner
Elle veut pas s'asseoir, ça a trop duré
L'immobilité forcée, ce soir la vie va recommencer
Il faut qu'ça bouge, il faut qu'ça tremble, il faut qu'ça transpire encore
Dans le bordel des bars le soir
Débraillés dans le noir
Il faudra réapprendre à boire
Il faudra respirer encore
Il faut qu'ça bouge, il faut qu'ça tremble, il faut qu'ça transpire encore
Dans le bordel des bars le soir
Débraillés dans le noir
Il faudra réapprendre à boire Il faudra respirer encore
Souvent sa nuque frôle le dancefloor, on croit qu'elle flanche mais elle s'en sort
Le rythme de son cœur s'aligne aux stroboscopes et bat un peu plus fort
Elle veut pas s'asseoir, elle veut s'oublier
Elle veut qu'on la drague, qu'on la regarde et qu'on la fasse tourner
Elle veut pas s'asseoir, ça a trop duré
L'immobilité forcée, ce soir la vie va recommencer
(Refrain)
Allez, respire encore
Allez, respire encore (allez)
Allez, respire encore (allez, allez)
Allez, respire encore (allez, allez, allez, allez)
Allez, respire encore (allez, allez, allez, allez, allez, allez)
Oh, il faut qu'ça bouge, il faut qu'ça tremble, il faut qu'ça transpire encore
Dans le bordel des bars le soir
Débraillés dans le noir Il faudra réapprendre à boire
Il faudra respirer encore
Il faut qu'ça bouge, il faut qu'ça tremble, faut qu'ça transpire encore
Dans le bordel des bars le soir
Débraillés dans le noir
Il faudra réapprendre à boire
Il faudra respirer encore