Inventaire général du patrimoine culturel
Région des Pays de la Loire/Service du Patrimoine
Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire
inventaire topographique

Pays de la Loire, Maine-et-Loire

Angers, Centre-ville (quartier)

Fortification d´agglomération dite enceinte de Saint Louis

Type de dossier : ensemble ; sous-dossier ; avec sous-dossier Oeuvre sélectionnée Date de l'enquête : 2006

Références documentaires

Référence de la même oeuvre dans le domaine MH : PA00108942

Désignation

Dénomination : fortification d'agglomération
Appellation et titre : dite enceinte de saint Louis
Partie(s) constituante(s) non étudiée(s) : château (étudié) ; porte de ville ; ouvrage avancé ; ouvrage d'artillerie ; fossé

Compléments de localisation

Référence(s) cadastrale(s) : 1999 AP 118, BR 151
Numéro INSEE de la commune : 49007
Aire : Angers intra-muros
Canton : Angers Centre
Milieu d'implantation : en ville

Historique

Commentaire historique : Avec le rattachement de l´Anjou au domaine royal, la ville devient une place frontière face à la Bretagne indépendante : Blanche de Castille sous la minorité de Louis IX ordonne au début des années 1230 la réalisation d´une forteresse et d´une ample fortification urbaine. La date d´achèvement n´est pas connue par des textes.

Du milieu du 15e siècle au début du 17e siècle, l´enceinte est adaptée à l´artillerie. Des bastions contrôlent la rivière, associés à des rangées de pieux qui en ferment le passage. Des barbacanes protègent les portes et le chemin de ronde est renforcé ponctuellement de mâchicoulis. Pour l´usage du canon, des plates-formes en terre sont érigées près des portes au cours des décennies 1560-1570, sous les ordres du gouverneur Pierre Donadieu de Puycharic, en pleine Guerres de Religion. Au 17e siècle, la fortification perd de son importance militaire. De nouvelles portes participent à l´embellissement de la ville, baptisées du nom des maires commanditaires, Gautier (1636), Cupif (due aux frères Camus en 1671), Grandet (1692).

En 1807, Napoléon donne l´autorisation de détruire l´enceinte, déjà progressivement engagée au niveau des portes depuis le milieu du 18e siècle : la démolition au profit d´un anneau de promenades commence par le front est, mais la plupart des bastions sur la Maine ne disparaissent qu´avec la création des ponts de la Haute et de la Basse-Chaîne dans les années 1830. Les rares vestiges visibles aujourd´hui sont la tour de la Haute-Chaîne et la tour incorporée à l´ancien hôtel de ville sur le boulevard Carnot.
Datation(s) principale(s) : 2e quart 13e siècle ; 15e siècle ; 16e siècle
Datation(s) secondaire(s) : 17e siècle
Date(s) : 1232 ; 1437 ; 1448 ; 1484 ; 1514 ; 1525 ; 1620 ; 1671 ; 1692
Justification de la datation : porte la date ; daté par source ; daté par travaux historiques
Auteur(s) : Camus Guillaume (architecte) ; Camus Jean (architecte) ; Camus Vincent (architecte)
Justification de l'attribution : attribution par source
Personne(s) liée(s) à l'histoire de l'oeuvre : Donadieu de Puycharic Pierre (commanditaire) ; Cupif Nicolas (commanditaire) ; Grandet François (commanditaire)

Description

Commentaire descriptif : L´enceinte avait une longueur de 3,8 km, 2,2 km sur la rive gauche avec une vingtaine de tours et 1,6 km sur la rive droite avec une douzaine de tours, à quoi il faut ajouter le redan du pont des Treilles. Les meilleures représentations générales sont deux vues cavalières du 16e siècle, dues à Adam Vandelant en 1576 et à l'ingénieur italien Hercule de Senfront en 1589.

L´ensemble de la maçonnerie était en moellon de schiste, les courtines avec des murs épais de deux mètres (six pieds). Les tours étaient hautes (trois niveaux) et étroites (cinq mètres de diamètre), couronnées de larges merlons à chaînage de tuffeau et de créneaux étroits sous des toits coniques (comme à la tour de l´ancien hôtel de ville). Aux 15e et 16e siècles, des portions de courtines, de nombreuses tours et portes sont dotées de mâchicoulis, ainsi à la tour de la Haute-Chaîne. Huit portes permettaient d´accéder dans la ville, deux sur la rive droite, six sur la rive gauche, avec des barbacanes à plan polygonal pour les défenses les plus élaborées.

Les ouvrages avancés sur la rivière associaient des tours et des bastions de plan géométrique (triangle ou polygone) ; le bastion Saint-Serge présentait une forme particulière par son plan en fer-à-cheval et ses murs très inclinés au couronnement dépourvu de mâchicoulis.
Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : schiste ; moellon sans chaîne en pierre de taille ; tuffeau ; moyen appareil ; bossage ; appareil mixte
Matériau(x) de couverture : ardoise ; pierre en couverture
Vaisseau(x) et étage(s) : 2 étages carrés ; étage de comble
Type et nature du couvrement : voûte en berceau
Type de la couverture : toit conique ; toit en pavillon ; terrasse
Technique du décor : sculpture
Représentation : sphère, armoiries ; cartouche, couronne, palme, trophée
Précision sur la représentation : La porte Cupif - un grand arc à bossages un-sur-deux - était couronnée d´un fronton-corniche avec trois boules en amortissement ; le fronton portait trois blasons, aux armes du roi, de la ville et du maire commanditaire. La porte Grandet présentait trois cartouches à la clé et sur les écoinçons de l´arc en plein-cintre : celui de la clé, surmonté d´une couronne et encadré de palmes était aux armes de France ; les deux latéraux, avec palmes et trophées (armes, clé, instruments de musique) étaient aux armes de la ville à gauche, et à celles du maire à droite.
Etat de conservation : vestiges

Intérêt de l'oeuvre

Intérêt de l'oeuvre : à signaler

Situation juridique

Statut de la propriété : propriété de la commune
Date(s) et nature de la protection MH : 1927/03/26 : inscrit MH
Précisions sur la protection : Tour de la Haute-Chaîne (cad. 1999 AP 118) : inscription par arrêté du 26 mars 1927.

Enceinte et château capétiens du 13e siècle, état restitué et vestiges.


Synthèse

HISTORIQUE DETAILLE :

Avec le rattachement de l´Anjou au domaine royal, la ville devient une place frontière face à la Bretagne indépendante : Blanche de Castille, sous la minorité de Louis IX, ordonne au début des années 1230 la réalisation d´une forteresse et d´une ample fortification urbaine. Les nombreuses expropriations sont datées de 1232, des matériaux pour la cathédrale sont confisqués au profit du « mur de ville » en 1234. La date d´achèvement n´est pas connue par des textes. Côté amont, en raison de larges zones inondables (actuel quartier Thiers-Boisnet), l´enceinte dessine un profond redan vers le coeur de la ville et emprunte une chaussée de moulins, le pont des Treilles : des treillis de bois, d´où son nom, sont mis en place en avant des voies d´eau des moulins et entre les piles de l´ouvrage (voir dossier pont des Treilles).

Des travaux d´améliorations sont entrepris aux 15e et 16e siècles en raison du progrès des armements. Au milieu du 15e siècle, le système de fortification de la rivière est entièrement repensé dans le cadre d´une défense par l´artillerie. Des bastions sont construits en amont et en aval sur les deux rives, avec dans la rivière des rangées de pieux qui en interdisent le passage, à l´exception d´un étroit chenal facilement fermé par une chaîne (des pieux sont frappés à la Haute-Chaîne en 1489, selon un historien du 18e siècle). En amont côté rive droite, le bastion de la Haute-Chaîne portait la date 1448 d´après un historiographe du 17e siècle. En aval sur la rive droite, l´ouvrage, dénommé tour Guillou pourrait être de même époque à en juger par son architecture - le rempart qui mène à cette tour, implanté sur une zone marécageuse, est porté par des arches dont la fermeture par des grilles de fer est attestée en 1500 -; mais notablement renforcé pendant les guerres de religion. En amont sur la rive gauche, le boulevard Saint-Serge était en cours de construction en 1484, surélevé vers 1498 et modernisé en 1523. Enfin, au pied du château, la tour de la Basse-Chaîne devait être contemporaine, et renforcée également, pendant les guerres de religion et encore en 1620. La fortification du pont des Treilles est renforcée en 1437, particulièrement à hauteur de l´arche marinière.

Toujours pour l´adaptation à l´artillerie, les fossés sont élargis en conséquence dans la 2e moitié du 15e siècle. Des barbacanes sont réalisées devant les portes : présentant deux types différents, elles sont vraisemblablement de deux époques, les premières pouvant être du 15e siècle, les secondes avec des bastions polygonaux datant du siècle suivant. Les portes elles-mêmes font l´objet de multiples travaux de réparations et modernisations au cours de cette époque. Ainsi, la porte Saint-Aubin voit ses tours reconstruites en 1514 et être précédée d´un bastion polygonal avec deux ponts-levis en 1525-1526, agrandi en 1596. Le chemin de ronde est renforcé de mâchicoulis en divers endroits, portes, tours ou courtines tant au 15e qu´au 16e siècle. Dans la 2e moitié du 16e siècle, pour l´usage du canon, des plates-formes en terre sont érigées derrière les murailles, près des portes pour la plupart, au cours des décennies 1560-1570, principalement sous les ordres du gouverneur Pierre Donadieu de Puycharic. Les ultimes travaux de fortification interviennent à la fin du siècle et jusque dans les années 1630 avec l´établissement de murs de contrescarpe. D´une période tardive, datent également des murs de remparement qui doublaient l´élévation interne de l´enceinte.

A partir du milieu du 17e siècle, la fortification perd de son importance militaire. De nouvelles portes sont construites pour favoriser l´activité commerciale (perception de l´octroi), mais traitées comme des embellissements : porte Gautier à l´extrémité sud-ouest de la nouvelle rue Boisnet ouverte en avant du rempart, porte Cupif (1671) à l´autre extrémité de cette même rue, du nom du maire Nicolas Cupif qui la fait entreprendre par les architectes Guillaume, Jean et Vincent Camus, porte Grandet (1692) du nom également du maire du moment, au bout de l´actuelle rue David-d´Angers, en remplacement d´une porte Saint-Jean, condamnée par l´élargissement des fossés et la création d´une plate-forme d´artillerie.

Dans la 2e moitié du 18e siècle, d´autres portes fortifiées disparaissent en partie - la partie centrale est détruite mais les tours subsistent -, porte Toussaint en 1764, porte Saint-Aubin en 1770-1773, porte Cupif en 1785. A la Révolution, les autres portes sont aussi en partie détruites, mais les tours ne disparaîtront que sous l´Empire : en 1807, Napoléon entérine le souhait des habitants de voir supprimer l´enceinte : la démolition au profit d´un anneau de promenades commence par le front est, mais la plupart des bastions sur la Maine ne disparaissent qu´avec la création des ponts de la Haute et de la Basse-Chaîne dans les années 1830 et les derniers restes, sur la rive droite, sont encore visibles sur le cadastre de 1840 ; des éléments subsisteront jusqu´à la fin du 19e siècle dans le redan du pont des Treilles, côté rive droite, et sur le pont lui-même. Les rares vestiges significatifs aujourd´hui sont la tour de la Haute-Chaîne et la tour incorporée à l´ancien hôtel de ville sur le boulevard Carnot, à quoi on peut ajouter des restes fossiles visibles dans des arrière-cours de la rue Boisnet et un imposant mur de remparement en bordure sud de l´hôtel de Cacqueray (53, rue Toussaint) et de la bibliothèque municipale.


DESCRIPTION DETAILLEE :

L´enceinte avait une longueur de 3,8 km, 2,2 km sur la rive gauche avec une vingtaine de tours et 1,6 km sur la rive droite avec une douzaine de tours, à quoi il faut ajouter le redan du pont des Treilles. Le premier anneau des actuels boulevards remplace globalement le tracé des anciennes fortifications.

Côté rive gauche, six portes (avec des tours circulaires à deux étages carrés) permettaient d´accéder dans la ville, du sud vers le nord, la porte Toussaint au pied du château, la porte Saint-Aubin (depuis Saumur, Tours et Lyon), la porte Saint-Jean ou Saint-Julien, la porte Saint-Michel (depuis Le Mans et Paris) et la porte Saint-Serge (les portes Saint-Jean et Saint-Serge cessèrent de fonctionner au 15e siècle). Deux portes donnaient sur une île de la Maine, une simple poterne et la porte Boisnet. Côté rive droite, il y avait deux portes principales, Saint-Nicolas (Nantes) et Lionnaise (Rennes, Laval), plus une poterne, le Vieil Portail de la Tannerie.

Les tours et courtines étaient en moellon de schiste, les murs épais de deux mètres (six pieds) ; les tours étaient hautes (trois niveaux) et étroites (cinq mètres de diamètre) et dépourvues de mâchicoulis, seulement de larges merlons à chaînage de tuffeau et des créneaux étroits sous des toits coniques (tour de l´ancien hôtel de ville). Aux 15e et 16e siècles, des portions de courtines, de nombreuses tours et portes sont dotées de mâchicoulis : la tour de la Haute-Chaîne montre ainsi un couronnement de mâchicoulis porté par de larges consoles, deux fois plus larges que les ouvertures pour le tir fichant. Les fossés, étroits et profonds à l´origine pour gêner un travail de mine, sont transformés en raison de l´artillerie en fossés larges et moins profonds.

Des barbacanes de deux types différents protégeaient les portes : les premières (comme aux portes Saint-Michel et Saint-Nicolas) étaient de petits bastions encadrant un passage coudé ; les secondes, plus évoluées (porte Saint-Aubin, porte Lionnaise), étaient constituées d´un seul et fort bastion de plan polygonal, enveloppant le passage coudé.

Les ouvrages avancés sur la rivière étaient les suivants : la Haute-Chaîne était faite d´une tour de huit mètres de diamètre plongeant dans la rivière (toujours en place mais remblayée de plus de quatre mètres au milieu d´un espace vert) et d´un bastion rectangulaire à étrave triangulaire ; en face, le boulevard Saint-Serge était un fort en fer-à-cheval, aux murs fortement inclinés, sans mâchicoulis. Côté aval, la tour Guillou était une tour englobée dans un bastion polygonal ; au pied du château, la tour de la Basse-Chaîne était pour l´essentiel formée d´une demi-lune d´une vingtaine de mètres de diamètre. Tous ces bastions possédaient une ou deux casemates voûtées en berceau.

Les fortifications, tant du 13e siècle que du 15e étaient munies d´archères ; seuls les bastions Saint-Serge et de la Basse-Chaîne étaient dotés de canonnières, sur deux niveaux.



Illustrations

Fig. 1
Enceinte et château capétiens du 13e siècle, état restitué et vestiges.
Fig. 2
Vue cavalière d'Adam Vandelant en 1576 depuis le nord, avec l'ensemble de l'enceinte représenté, les bastions et défenses de la Haute-Chaîne au 1er plan.
Fig. 3
Tracé sud-est du mur d'enceinte et de la porte saint-Aubin, détail du plan de l'abbaye Saint-Aubin dit plan de Saint-Germain, 1661.
Fig. 4
Porte Cupif (actuelle place Hérault). Projet d'une porte monumentale annexé au marché de construction du 8 août 1671 : plan et élévation, par les frères Camus, 1671.
Fig. 5
Plan de l'enceinte à hauteur de l'enclos de l'abbaye Saint-Aubin, avec la porte Saint-Aubin à gauche, 1782.
Fig. 6
Porte Cupif (actuelle place Hérault). Projet de deux pavillons d'octroi en 1786 : plan, coupe transversale partielle, élévation.
Fig. 7
Porte Cupif (actuelle place Hérault). Projet (première étude ?) de deux pavillons d'octroi en 1780 : plan, élévation.
Fig. 8
Plan partiel du rez-de-chaussée de la porte Saint-Aubin - tour droite au nord-est, état en 1787 après destruction de la partie centrale (plan dressé dans le cadre d'une transaction entre le corps de ville et un propriétaire voisin), par Lochet, 1787.
Fig. 9
Plan de la Porte Saint-Nicolas : plan masse de la porte et de ses abords, état en 1793, avec les bâtiments d'octroi devant les tours, par J.-F. Demarie, 1793.
Fig. 10
Projet de redressement de la traverse, grande route de Paris à Nantes par le Mans, approuvé en 1802. Plan du secteur Louis-Imbach. Vue d'ensemble sans la retombe, avec état du fossé d'enceinte et de la porte Saint-Michel, par J.-F. Demarie, 1802.
Fig. 11
Plan d'une partie de la ville d'Angers avec le projet de redressement de la traverse, grande route de Paris à Nantes par le Mans, approuvé en 1802 : détail sur le tracé du fossé d'enceinte et de la porte Saint-Michel, par J.-F. Demarie, 1802.
Fig. 12
Projet de redressement de la traverse, grande route de Paris à Nantes par le Mans, approuvé en 1802. Plan du secteur de la place Louis-Imbach. Vue d'ensemble avec la retombe : suppression du fossé d'enceinte et projet de boulevards plantés.
Fig. 13
Plan des concessions à faire pour la confection du boulevard depuis la porte Saint-Michel jusqu'à la porte de Fer (de la rue Jules-Guitton à la place Hérault). Plan dressé, par A. Lenoir en 1816 qui porte le tracé de l'enceinte.
Fig. 14
Plan des concessions à faire pour la confection du boulevard depuis la porte Saint-Michel jusqu'à la porte Saint-Aubin (de la rue Jules-Guitton à la rue Saint-Aubin). Plan dressé, par M. Binet, en 1812, qui porte le tracé de l'enceinte.
Fig. 15
Plan du boulevard de la Lice [Roi-René et Général-de-Gaulle], dressé en 1824 pour sa création, avec tracé de l'enceinte, du boulevard du Maréchal-Foch à la rue Toussaint, par A. Lenoir, 1824.
Fig. 16
Extrait du plan du boulevard de Nantes (actuel boulevard Gaston-Dumesnil). Plan dressé par E. Boutrouë en 1839 ,pour sa création qui porte le tracé de l'enceinte avec la tour Guillou devant servir de fondation au pont de la Basse-chaîne.
Fig. 17
Plan des concessions à faire pour la confection du boulevard depuis la porte Saint-Nicolas jusqu'à la porte Lionnaise (de la place Monprofit à la place du Docteur-Bichon). Plan, par M. Binet, dressé en 1815, qui porte le tracé de l'enceinte.
Fig. 18
Plan des concessions à faire pour la confection du boulevard depuis la place Lionnaise jusqu'à la Maine (boulevard Daviers). Plan dressé, par M. Binet, en 1815, qui porte le tracé de l'enceinte avec le bastion et la tour de la Haute-Chaîne.
Fig. 19
Détail d'un plan des abords du pont projeté de la Basse-Chaîne, approuvé en 1831-1833 avec les relevés des bastions encadrant la rivière destinées à la destruction ou la fondation des culées, par A. Fourier, 1831.
Fig. 20
Plans des portes et ouvrages avancés : tour de la Haute-Chaîne, portes Lionnaise et Saint-Nicolas, tour Guillou, boulevard Saint-Serge, portes Saint-Michel et Saint-Aubin, ouvrage avancé du château, bastion de la Basse-Chaîne, par J.-A. Berthe, [v. 1829].
Fig. 21
Vue cavalière d'Adam Vandelant en 1576 depuis le nord, détail centré sur les défenses de la rivière : les bastions et défenses de la Haute-Chaîne ainsi que le retour des courtines en direction du pont fortifié des Treilles en arrière-plan.
Fig. 22
Vue cavalière de la ville d'Angers en 1576 (copie 1872), détail : la plate-forme d'artillerie sur la rive droite, au nord de la porte Lionnaise (actuel croisement des rues du Calvaire et Monfrou), lithogr., d'après Vandelant, par E. Morel, 1872.
Fig. 23
Angiers fait della main du capite Ercules conte de Senfront : vue cavalière des fortifications depuis le nord, [v. 1590].
Fig. 24
Angiers fait della main du capite Ercules conte de Senfront : vue cavalière des fortifications depuis le nord, [v. 1590], détail sur la rive gauche : porte Toussaint (en bas, à gauche), le château et le bastion de la Basse-Chaîne (en haut à droite).
Fig. 25
Angiers fait della main du capite Ercules conte de Senfront : vue cavalière des fortifications depuis le nord, [v. 1590], détail sur le site de la Basse-Chaîne au pied du château, pieux et chaînes en rivière, Tour Guillou sur la rive opposée.
Fig. 26
Angiers fait della main du capite Ercules conte de Senfront : vue cavalière des fortifications depuis le nord, [v. 1590], détail sur la porte Saint-Nicolas, rive droite.
Fig. 27
Angiers fait della main du capite Ercules conte de Senfront : vue cavalière des fortifications depuis le nord, [v. 1590], détail sur la porte Lionnaise, rive droite.
Fig. 28
Angiers fait della main du capite Ercules conte de Senfront : vue cavalière des fortifications depuis le nord, [v. 1590], détail sur le bastion de la Haute-Chaîne, rive droite
Fig. 29
Angiers fait della main du capite Ercules conte de Senfront : vue cavalière depuis le nord, [v. 1590], détail sur le site de la Haute-Chaîne : bastion du "bollevard Saint-Serge" en rive gauche (à gauche), bastion de la Haute-Chaîne sur la rive opposée.
Fig. 30
Angiers fait della main du capite Ercules conte de Senfront : vue cavalière des fortifications depuis le nord, [v. 1590], détail sur le bastion du "bollevard Saint-Serge" sur la rive gauche.
Fig. 31
Angiers fait della main du capite Ercules conte de Senfront : vue cavalière des fortifications depuis le nord, [v. 1590], détail sur la porte Saint-Michel, rive gauche.
Fig. 32
Angiers fait della main du capite Ercules conte de Senfront : vue cavalière des fortifications depuis le nord, [v. 1590], détail sur la porte Saint-Aubin, rive gauche
Fig. 33
Tour et bastion de la Basse-Chaîne, au pied du château, vue depuis le sud, dessin, par J. Bruneau de Tartifume, [années 1630].
Fig. 34
Monasterium Sancti Albini Andegav, vue cavalière de l'abbaye Saint-Aubin au sud : détail sur la porte Saint-Aubin voisine, côté élévation interne, vers 1685.
Fig. 35
Elévation de la porte Grandet ou porte neuve, à l'entrée de la rue de l'Hôpital (actuelle rue David d'Angers), aquatinte, par F. Ertinger, 1692.
Fig. 36
Annages défensifs de la Basse-Chaine vus depuis l'aval : détail de la gravure, de P.-J. Mariette, 1770. Andegavum.
Fig. 37
Le château d'Angers depuis la promenade des Lices dans les années 1830. La tour de l'enceinte à hauteur de l'abbaye Toussaint au 1er plan à droite, le château avec la porte des Champs en arrière-plan, repro. lavis de Champin, [années 1820]
Fig. 38
La tour Guillou, le bastion côté rive droite des défenses de la Basse-Chaîne, en 1820. Vue depuis le chemin de ronde de la courtine adjacente, en arrière plan, le château, aquatinte, par C.-A. Stothard, 1820.
Fig. 39
La Basse-Chaîne à Angers. Au 1er plan, la tour Guillou sur la rive droite, en vis-à-vis, sur la rive gauche, la tour et le bastion de la Basse-Chaîne au pied du château, lithogr., par I. Dagnan, 1829.
Fig. 40
Bastions de la Basse-Chaîne en 1830 : au 1er plan, à gauche, les vestiges de la tour Guillou sur la rive droite, et en face, ceux de la tour de la Basse-Chaîne au pied du château.
Fig. 41
Tour et bastion de la Haute-Chaîne, rive droite, en 1820. Vue depuis le nord-est, dessin, par J.-J. Delusse, 1820.
Fig. 42
Tour et bastion de la Haute-Chaîne en 1832 (tour faussement dénommée sous le dessin tour Guillou, qui est à la Basse-Chaîne). Vue depuis le nord, dessin, par P. Hawke, 1832.
Fig. 43
Tour et bastion de la Haute-Chaîne dans les années 1830, vue depuis le Mail Robert sur la rive gauche (actuel boulevard Ayrault), par P. Hawke, 1830.
Fig. 44
Enceinte le long de la Maine, rive droite, ancien quai de l'Hôpital : vue vers l'aval, avec les constructions de l'hôpital Saint-Jean au 1er plan remployant la courtine, jusqu'au pont fortifié desTreilles, photogr., 3e quart 19e siècle.
Fig. 45
Tour de la Haute-Chaîne avec derrière un bâtiment de magasin, à gauche la courtine qui bordait les jardins du nord de l'enclos de l'hôpital Saint-Jean. Vue depuis le pont de la Haute-Chaîne, avec l'hôpital Sainte-Marie au fond, 3e quart du 19e siècle.
Fig. 46
La tour de la Haute-Chaîne dans son environnement fluvial et l'hôpital Sainte-Marie en arrière-plan, depuis le pont de la Haute-Chaîne, photogr., début. 20e siècle
Fig. 47
La tour de la Haute-Chaîne, avec son environnement en eau en cours de comblement au début du 20e siècle. Vue depuis le nord, carte postale, début 20e siècle.
Fig. 48
La tour de la Haute-Chaîne, avec son environnement en eau en cours de comblement au début du 20e siècle. Vue depuis l'ouest avec la Maine en arrière-plan, carte postale, début 20e siècle.
Fig. 49
La tour de la Haute-Chaîne désormais au milieu des terres, dans un environnement de jardin en cours de constitution dans les années 1910 ou 1920, carte postale, 1er quart 20e siècle.
Fig. 50
Vestiges de l'enceinte dans la Doutre : le rempart le long de la grève, près de la porte dite de Saint-Jean, par E. Louvet, 1859.
Fig. 51
Mur fortifié le long du quai Saint-Jean, à hauteur de la cour Carotte : élévation sur la rivière depuis l'île Saint-Jean, photogr., 3e quart 19e siècle.
Fig. 52
Front nord de l'enceinte, restauration de la muraille, sous l'hôtel Demarie, boulevard Carnot, à hauteur du n° 38 : coupe schématique de principe, état futur, par D. Roussel, 1987.
Fig. 53
Porte neuve ou Barreau (partie de l'enceinte Saint-Louis) : vue depuis l'ancien quai de l'Hôpital (actuel bd Arago), lithogr., par E. Morel, 1872.
Fig. 54
Front nord-est de l'enceinte : tour adossée à l'ancien hôtel de ville, élévation sur le boulevard Carnot, état avant restauration. A droite, l'ancien logis des maires.
Fig. 55
Front nord-est de l'enceinte : tour adossée à l'ancien hôtel de ville (actuel muséum d'histoire naturelle), état après restauration.
Fig. 56
Front nord-est de l'enceinte, tour adossée à l'ancien hôtel de ville (actuel museum d'histoire naturelle) : vestiges d'un mâchicoulis plaqué contre l'élévation latérale gauche de la tour. Etat après restauration.
Fig. 57
La tour de la Haute-Chaîne, élévation vers sud-est, vue d'ensemble (en arrière-plan, la maison, 20, rue Larrey).
Fig. 58
Tour de la Haute-Chaîne, élévation vers est, partie inférieure au-dessus de l'empattement : détail sur une canonnière (pièce du 2e niveau) ; au-dessus une ancienne archère repercée.
Fig. 59
Tour de la Haute-Chaîne, élévation vers sud-est : mâchicoulis.
Fig. 60
Tour de la Haute-Chaîne, élévation vers est : détail sur les mâchicoulis, vue en contre-plongée.
Fig. 61
Tour de la Haute-Chaîne, élévation vers sud, vue d'ensemble.
Fig. 62
Tour de la Haute-Chaîne, élévation vers sud-ouest, vue d'ensemble.
Fig. 63
Tour de la Haute-Chaîne, élévation vers sud-ouest, partie basse : parties avec (côté rivière) et sans empattement (côté terre).
Fig. 64
Tour de la Haute-Chaîne, élévation vers nord-ouest, de la base actuelle jusqu'au niveau des mâchicoulis.
Fig. 65
Tour de la Haute-Chaîne, élévation vers nord-est, vue d'ensemble.
Fig. 66
La tour de la Haute-Chaîne, élévation vers nord-est, vue d'ensemble.
Fig. 67
Tour de la Haute-Chaîne, élévation vers nord-est, partie inférieure au-dessus de l'empattement : détail sur deux canonnières et une archère (correspondant à la pièce du 2e niveau).
Fig. 68
Tour de la Haute-Chaîne, élévation vers nord-est, détail sur une archère-canonnière (pièce du 3e niveau) et une archère (pièce du 2e niveau).
Fig. 69
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 1er niveau, vue vers ouest avec l'entrée moderne de la tour. Dans l'épaisseur du mur, à gauche, départ de l'escalier tournant. A droite de la porte d'entrée, ouverture murée.
Fig. 70
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 1er niveau, partie nord-est : partie supérieure en forme d'arc d'une ancienne canonnière.
Fig. 71
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 2e niveau : vue d'ensemble vers sud-ouest, avec les accès des escaliers tournants dans l'épaisseur du mur, à gauche vers le 1er niveau, à droite vers le 3e niveau.
Fig. 72
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 2e niveau, partie sud : porte d'accès à l'escalier tournant dans l'épaisseur du mur vers le premier niveau.
Fig. 73
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 2e niveau, partie nord  : embrasure d'archère retaillée pour l'aménagement de deux canonnières (visibles extérieurement).
Fig. 74
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 2e niveau, partie nord  : vestiges d'archère, détail sur la voussure.
Fig. 75
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 2e niveau, partie nord-est : embrasure d'archère retailléepour l'aménagement d'une canonnière (visible extérieurement).
Fig. 76
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 2e niveau, poutre-maîtresse du plafond, face latérale sud, partie médiane : marque de tacheron.
Fig. 77
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 2e niveau, poutre-maîtresse du plafond, face latérale sud, extrémité sud-est : marque de marchand (n° 1853)
Fig. 78
Front nord-est de l'enceinte : tour adossée à l'ancien hôtel de ville (actuel muséum d'histoire naturelle), dominant le boulevard Carnot, état avant restauration. A droite l'ancien logis des maires remployant la courtine.
Fig. 79
Tour de la Haute-Chaîne, escalier tournant dans l'épaisseur du mur entre deuxième et troisième niveaux, vue depuis le départ de la volée.
Fig. 80
Tour de la Haute-Chaîne, escalier tournant dans l'épaisseur du mur entre deuxième et troisième niveaux, vue en contre-plongée.
Fig. 81
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 2e niveau, partie sud : porte d'accès (l'escalier tournant menant à cette pièce, dans l'épaisseur du mur, est derrière la paroi droite).
Fig. 82
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 3e niveau, partie sud : porte d'accès (l'escalier tournant menant à cette pièce, dans l'épaisseur du mur, est derrière la paroi droite).
Fig. 83
Pignon nord de l'ancien hôtel de ville et tour de l'enceinte urbaine, boulevard Carnot : élévation latérale gauche de cette dernière. Etat après restauration.
Fig. 84
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 3e niveau : vue d'ensemble vers sud-est avec à droite la porte d'accès ; au centre, foyer muré de cheminée, et à gauche bouchage d'une archère.
Fig. 85
Pignon nord de l'ancien hôtel de ville et tour adjacente de l'enceinte urbaine, boulevard Carnot, parties supérieures. Etat après restauration.
Fig. 86
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 3e niveau, partie sud-est : foyer muré de cheminée et petite niche adjacente.
Fig. 87
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 3e niveau, partie nord : bouchage de deux archères.
Fig. 88
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 2e niveau, partie ouest : porte d'accès à l'escalier tournant dans l'épaisseur du mur menant à la pièce supérieure (derrière la paroi gauche).
Fig. 89
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 2e niveau, partie ouest : derrière la paroi gauche, dans l'épaisseur du mur, départ de l'escalier tournant menant à la pièce supérieure. La porte en bois correspond à une ouverture repercée tardivement.
Fig. 90
Tour de la Haute-Chaîne, pièce du 3e niveau : la voûte vue en contre-plongée.
Fig. 91
Tour de la Haute-Chaîne : l'escalier tournant d'accès à la charpente, à son débouché dans le comble.
Fig. 92
Tour de la Haute-Chaîne, charpente : vue d'ensemble vers est.
Fig. 93
Tour de la Haute-Chaîne, charpente : vue vers est avec le poinçon en premier plan.
Fig. 94
Tour de la Haute-Chaîne, charpente : vue d'ensemble de l'enrayure vers nord-est.
Fig. 95
Tour de la Haute-Chaîne : trou de mâchicoulis, vue depuis le comble (partie sud-est) ; à côté détail assemblage de la partie basse de la charpente, enrayure/arbalétrier/sablière/chevron.
Fig. 96
Tour de la Haute-Chaîne, charpente : détail d'assemblage jambette/arbalétrier/panne/chevron.
Fig. 97
Front est de l'enceinte, à hauteur du n° 34, boulevard du Maréchal-Foch : vestiges de la base d'une tour en sous-sol de l'immeuble actuel, partie antérieure gauche.
Fig. 98
Front est de l'enceinte, à hauteur du n° 34, boulevard du Maréchal-Foch : vestiges de la base d'une tour en sous-sol de l'immeuble actuel, partie antérieure.
Fig. 99
Frond nord-est de l'enceinte : vestiges d'une tour dégagée lors d'une démolition en 1989 au n° 17 place du Docteur-Bichon. Vue depuis le nord.
Fig. 100
Frond nord-est de l'enceinte : vestiges d'une tour dégagée lors d'une démolition en 1989 au n° 17 place du Docteur-Bichon. Vue depuis le sud-ouest.
Fig. 101
Enceinte sur les arrières de la rue Boisnet, à hauteur du n° 31 : parties postérieures d'habitat rue Parcheminerie (n° 6 bis à 10) bâties à l'aplomb de la courtine qui allait autrefois du boulevard Saint-Serge au pont fortifié des Treilles.
Fig. 102
Enceinte sur les arrières de la rue Boisnet, n° 17 à 21 : vestiges de la courtine du bd Saint-Serge au pont fortifié des Treilles, élévation intérieure dégagée lors de la démolition en 1989 des maisons n° 7 et 7 bis, rue du Canal. Vue depuis l´est.
Fig. 103
Enceinte sur les arrières de la rue Boisnet, n° 17 à 21 : vestiges de la courtine du bd Saint-Serge au pont fortifié des Treilles, élévation intérieure dégagée lors de la démolition en 1989 des maisons n° 7 et 7 bis, rue du Canal. Vue depuis le sud.
Fig. 104
Eenceinte sur les arrières de la rue Boisnet, n° 17 à 21 : vestiges de la courtine qui allait autrefois du boulevard Saint-Serge au pont fortifié des Treilles, élévation extérieure au fond de la cour du 19, rue Boisnet. Vue depuis le nord.
Fig. 105
Enceinte sur les arrières de la rue Boisnet, n° 17 à 21 : vestiges de la courtine avec restes de mâchicoulis au fond de la cour du 19, rue Boisnet (sous un appentis). Vue depuis le nord.
Fig. 106
Front est de l'enceinte, à hauteur du n° 34, boulevard du Maréchal-Foch : vestiges de la base d'une tour en sous-sol de l'immeuble actuel, partie gauche , détail sur la maçonnerie (mélange de roche et de moellons de schiste).
Fig. 107
Mur de remparement doublant le mur d'enceinte sur le front sud-est, entre la rue Toussaint et la bibliothèque municipale, vue depuis la rue Toussaint.
Fig. 108
Tour dite de l'hôtel de ville. Salle haute : vue d'ensemble vers sud
Fig. 109
Tour dite de l'hôtel de ville. Salle haute : fenêtre de tir sud murée
Fig. 110
Tour dite de l'hôtel de ville. Salle haute : angle sud-est
Fig. 111
Tour dite de l'hôtel de ville. Salle haute : élévation est et retour nord
Fig. 112
Tour dite de l'hôtel de ville. Salle haute, face est : vestige de créneau et porte murée
Fig. 113
Tour dite de l'hôtel de ville. Salle haute : vue d'ensemble vers nord
Fig. 114
Tour dite de l'hôtel de ville. Salle haute : détail sur la meurtrière nord-est
Fig. 115
Tour dite de l'hôtel de ville. Salle haute : vue d'ensemble vers nord-ouest
Fig. 116
Tour dite de l'hôtel de ville. Charpente : vue en contre-plongée (pan circulaire nord à droite)
Fig. 117
Tour dite de l'hôtel de ville. Charpente : ferme et enrayure nord
Fig. 118
Tour dite de l'hôtel de ville. Charpente : ferme nord, partie supérieure
Fig. 119
Tour dite de l'hôtel de ville. Charpente : ferme sud
Fig. 120
Tour de l'enceinte urbaine adossée au corps principal : charpente, vue d'ensemble vers la croupe ronde (côté antérieur de la tour).
Fig. 121
Tour de l'enceinte urbaine adossée au corps principal : charpente, vue d'ensemble vers la croupe orientée sur le corps principal (côté postérieur de la tour).
Fig. 122
Tour de l'enceinte urbaine adossée au corps principal : raccord de toiture avec la vis nord (à droite).

Voir

Angers, Présentation de l'aire d'étude Angers intra-muros
Angers, L'urbanisme
Angers, Centre-ville (quartier), Ensemble des fortifications d'agglomération de la ville d'Angers
Angers, Centre-ville (quartier), Bout-du-Monde (promenade du), Château fort, puis château des ducs d'Anjou

Région des Pays de la Loire - Service du Patrimoine / Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire. Chercheur(s) : Letellier-d'Espinose Dominique ; Biguet Olivier. (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général ; (c) Ville d'Angers. Renseignements : Centre de ressources, 1 rue de la Loire, 44966 Nantes cedex 9, tél. 02 28 20 54 70 - courriel : doc.patrimoine@paysdelaloire.fr - Document produit par Renabl6 : (c) Pierrick Brihaye (Région Bretagne) / Yves Godde (Ville de Lyon)