Inventaire général du patrimoine culturel
Région des Pays de la Loire/Service du Patrimoine
Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire
inventaire topographique

Pays de la Loire, Maine-et-Loire

Angers, Centre-ville (quartier), Saint-Aignan (rue) 3 à 7

Hôtel, dit maison canoniale Sainte-Croix

Type de dossier : individuel Oeuvre sélectionnée Date de l'enquête : 1979

Références documentaires

Référence de la même oeuvre dans le domaine MH : PA00132703

Désignation

Dénomination : hôtel
Genre du destinataire : de chanoines
Vocable : Sainte-Croix
Appellation et titre : maison canoniale Sainte-Croix
Partie(s) constituante(s) non étudiée(s) : cour ; chapelle

Compléments de localisation

Référence(s) cadastrale(s) : 1840 J 313, 314 ; 1980 DH 493 ; 1999 DH 493
Numéro INSEE de la commune : 49007
Aire : Angers intra-muros
Canton : Angers Centre
Milieu d'implantation : en ville

Historique

Commentaire historique : Auparavant confondue avec l´église paroissiale Saint-Aignan, cette demeure est désormais identifiée comme la maison canoniale Sainte-Croix, attestée en 1415 (d´après source). Le corps principal et l´aile droite (n° 5) datent de la 2e moitié du 12e siècle, comme l´attestent d´importants vestiges de baies sur la rue et sur l´ancienne cour antérieure. Un chapiteau provenant vraisemblablement de la fenêtre géminée du corps principal, la mieux conservée, est exposé au musée des Beaux-Arts. L´élévation postérieure ne conserve que quelques pierres d´une petite fenêtre en plein-cintre. L´aile droite est remaniée à la fin du 15e siècle (charpente, grande fenêtre sur rue condamnant les baies géminées romanes).

Le corps de logis droit en front de rue (au n° 7) semble dater du 14e siècle ou du 15e siècle, d´après deux restes d´ouvertures sur rue ; il est repris pour les percements aux 16e (fenêtres) et 17e siècles (portail). La tour d´escalier desservant les n° 5 et 7 est construite dans la 2e moitié du 16e siècle

Au n° 3, un portail menant autrefois à une cour latérale de communs date du 17e ou 18e siècle.

La cour antérieure est lotie au début du 19e siècle, puis celle des communs après 1840.

L'édifice est acquis en 1869 par les petites soeurs de Saint-François d'Assise, qui transforment les intérieurs et aménagent leur chapelle consacrée à l´Immaculée Conception dans le corps principal du 12e siècle ; des baies néo-romanes sont percées en conséquence sur l´élévation postérieure (vitraux étudiés dans la base Palissy). Un troisième logis est élevé en 1870 au sud de la cour postérieure.

Une peinture datée de 1925 figurant saint François (passablement altérée) décore le fronton du portail au n° 7. L´ancienne maison canoniale Sainte-Croix est depuis 1967 le foyer Saint-François, dépendant du lycée privé du Sacré-Cœur. La propriété actuelle englobe également une autre demeure autrefois distincte, l´ancienne maison de la chapelle Saint-Blaise, au n° 1 de la rue Saint-Aignan. Etude et restauration des façades romanes dégagées en 2002.
Datation(s) principale(s) : 2e moitié 12e siècle ; 14e siècle (?) ; 15e siècle (?) ; 2e moitié 16e siècle ; 3e quart 19e siècle
Datation(s) secondaire(s) : 4e quart 15e siècle ; 17e siècle ; 17e siècle (?) ; 18e siècle (?) ; 2e quart 20e siècle
Date(s) : 1925
Justification de la datation : daté par source ; porte la date
Partie déplacée : parties déplacées à : 49, Angers

Description

Commentaire descriptif : La demeure romane (n° 5) est constituée d´un corps principal parallèle à la rue, entre cours antérieure et postérieure, et d´une aile en retour avec pignon sur rue. Une cour latérale de communs jouxtait la cour d´entrée, au n° 3. Le gros-oeuvre est en moellon de schiste avec parements de tuffeau en tout ou partie (en place sur l´élévation sur rue, à l´état de vestiges sur l´ancienne cour d´entrée). Les parties des 16e et 19e siècles (escalier, corps de tribune de la chapelle) sont également en tuffeau. Les élévations sont à un étage carré. La façade sur rue est composée de quatre grandes ouvertures plein-cintre géminées, deux par niveau, formant une composition presque régulière. Les toitures sont à longs pans, reliées par des noues, avec pignons aujourd´hui couverts. L´escalier en vis, hors-oeuvre, est couvert d´un toit en pavillon, distribuant aussi le corps de logis n° 7.

Le corps de logis droit sur rue des 14e-17e siècles (n° 7), en moellon de schiste, présente un étage carré et un toit à longs pans.

Le corps de logis de 1870, au sud de la cour postérieure, est en moellon de schiste, deux étages carrés et un étage en surcroît couvert d'un toit à longs pans brisés et croupes, avec des travées régulières. Un escalier dans-oeuvre, en bois, tournant à retours avec jour, dessert cette partie.

Parties adventices bâties sur les cours antérieure et latérale gauche, constructions à un et deux étages carrés, élévations en tuffeau (celles sur rue s´appuyant sur les murs de clôture en schiste), et couvertures en appentis et à longs pans et croupes. Deux escaliers de même type que le précédent.
Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : tuffeau ; moyen appareil ; schiste ; moellon sans chaîne en pierre de taille ; moellon ; enduit partiel ; enduit ; appareil mixte
Matériau(x) de couverture : ardoise
Vaisseau(x) et étage(s) : sous-sol ; 2 étages carrés ; étage en surcroît
Type et nature du couvrement : fausse voûte en berceau plein-cintre
Parti d'élévation extérieure : élévation à travées
Type de la couverture : toit à longs pans ; toit à longs pans brisés ; toit en pavillon ; noue ; pignon couvert ; croupe ; appentis
Emplacement, forme et structure de l'escalier : escalier hors-oeuvre : escalier en vis sans jour, en maçonnerie ; escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour, en charpente, suspendu
Technique du décor : sculpture ; peinture ; vitrail (étudié dans la base Palissy)
Représentation : ruban, ornement géométrique ; fronton ; saint
Précision sur la représentation : Les baies en plein-cintre romanes présentent des motifs de ruban plissé et de dents de loup. Le portail sur rue du corps de logis droit est couronné d´un fronton curviligne. Son tympan est orné d'une scène peinte : saint François assistant un malade.
Typologie : Hôtel à cour antérieure (type A).

Intérêt de l'oeuvre

Intérêt de l'oeuvre : à signaler
Elément(s) remarquable(s) : élévation ; baie
Observations : Longtemps confondu avec une église, cet édifice est aujourd´hui reconnu comme l´une deux plus anciennes maisons, d´époque romane, conservées en élévation à Angers (l´autre étant l´hôtel de Beauvau-Montiron, 9-9 bis rue de la Harpe). Les vestiges sont suffisants pour en permettre une restitution importante, architecture patricienne de toute évidence, avec une hiérarchisation typique des niveaux privilégiant le premier étage. La rareté de ce genre de demeure dans l´ouest de la France et le bon état de conservation de la partie supérieure de la fenêtre sur cour du corps principal (protégée depuis le 19e siècle par la toiture d´une construction adventice) ont justifié son inscription à l´inventaire supplémentaire des monuments historiques.

Situation juridique

Statut de la propriété : propriété privée
Date(s) et nature de la protection MH : 1994/03/14 : inscrit MH
Précisions sur la protection : Ancienne maison romane (cad. 1994 DH 493) : inscription par arrêté du 14 mars 1994.

Logis principal, aile droite, pignon sur rue : vue d'ensemble.


Synthèse

Historique détaillé

Confondue jusqu'à une date récente avec l'église paroissiale Saint-Aignan (qui était plus loin dans la rue, à l´actuel n° 16), cette demeure est désormais identifiée comme la maison canoniale Sainte-Croix, attesté en 1422 dans un compte de la grande bourse du chapitre cathédral. Un censif de 1415 fait savoir qu´elle est alors habitée par le doyen de la cathédrale.

La partie centrale de la demeure (n° 5), composée d´un corps principal et d´une aile en retour avec pignon sur rue, date de la 2e moitié du 12e siècle : des vestiges importants de cinq baies sur le pignon sur rue, dont une porte, et de trois autres baies, dont également une porte, sur les deux faces donnant sur l'ancienne cour antérieure en constituent les éléments les plus notables ; un chapiteau provenant vraisemblablement de la baie géminée du corps principal, la mieux conservée, a été donné au musée des Beaux-Arts en 1868. Des colonnes engagées cantonnant les angles de l´édifice sont encore visibles sur les élévations sur la rue et sur la cour postérieure. L´élévation postérieure ne conserve quasiment rien de significatif, sinon quelques pierres indiquant l´existence d´une fenêtre en plein-cintre mais d´une taille et d´une apparence plus modestes que côté rue. L´escalier n´existe plus ; néanmoins la présence d´une porte au second niveau de l´aile sur rue permet de positionner un escalier extérieur dans la cour antérieure, à l´angle du corps principal.

Un corps de logis en front de rue (au n° 7), à droite de la partie 12e siècle, pourrait dater du 14e siècle ou du 15e siècle, d´après deux restes d´ouverture sur la partie droite de l´élévation antérieure. L'édifice principal est remanié à la fin du 15e siècle comme l'indiquent la grande fenêtre du premier étage de l´aile sur rue (qui condamne les grandes baies géminées romanes) et la charpente de cette même aile. Des travaux importants ont lieu dans la 2e moitié du 16e siècle : une tour d´escalier hors-oeuvre est érigée à l´angle des deux constructions, sur la cour postérieure, et de grandes fenêtres sont percées au premier étage du corps de logis droit. Des amortissements de lucarnes sont faits ou refaits au 17e siècle sur ces fenêtres côté rue et un portail est réalisé sur cette élévation. A gauche de la demeure romane, au n° 3, un portail menant à une cour latérale de communs date du 17e ou 18e siècle.

La cour antérieure de la demeure romane est lotie au début du 19e siècle, puis celle des communs, après 1840. L'édifice est acquis en 1869 par les petites soeurs de Saint-François d'Assise (Tertiaires gardes-malades) qui transforment toute la distribution intérieure et aménagent une chapelle (dédiée à l´Immaculée Conception) dans tout le corps principal du 12e siècle ; des baies néo-romanes sont percées en conséquence sur l´élévation postérieure (vitraux étudiés dans la base Palissy) et une extension adjacente à l´escalier en vis du 16e siècle est créée pour l´aménagement d´une tribune. Un troisième logis à usage de chambres, en bordure sud de la cour postérieure, est construit en 1870. Une peinture datée de 1925 montrant saint François assistant un malade décore le fronton du portail au n° 7, aujourd´hui déjà passablement altérée.

L´ancienne maison canoniale Sainte-Croix est depuis 1967 le foyer Saint-François, dépendant du lycée privé du Sacré-Coeur. Une étude archéologique de bâti suivie d´une restauration fut effectuée en 2002 sur les façades dégagées du 12e siècle. La propriété actuelle englobe également une autre demeure autrefois distincte, l´ancienne maison de la chapelle Saint-Blaise, au n° 1 de la rue Saint-Aignan.



Illustrations

Fig. 1
Logis principal, aile droite, pignon sur rue : vue d'ensemble.
Fig. 2
Plan-masse et de situation. D'après le plan cadastral, 1980, section DH, parcelle 493, éch. 1 : 1 000.
Fig. 3
Plan-masse et de situation. D'après le plan cadastral, 1840, section J, parcelles 313, 314, éch. 1 : 1 000.
Fig. 4
Plan-masse légendé avec tracé de couverture.
Fig. 5
Plan du 1er étage.
Fig. 6
Plan légendé du rez-de-chaussée, axé sur le logis du 12e s. Source : relevé des architectes Masson-Berthelot, 1993.
Fig. 7
Elévation sur rue des corps de logis, avec phasage des maçonneries, relevé, par J. Mastrolorenzo, 2002.
Fig. 8
Logis 12e s. : élévation sur rue avec phasage des maçonneries, relevé, par J. Mastrolorenzo, 2002.
Fig. 9
Logis 12e s. : élévation sur rue avec phasage des maçonneries et restitution des ouvertures 15e s, relevé, par J. Mastrolorenzo, 2002.
Fig. 10
Logis 12e s. : élévation sur rue avec phasage des maçonneries et restitution des baies originelles, relevé, par J. Mastrolorenzo, 2002.
Fig. 11
Logis 12e s. : élévation sur cour postérieure, avec phasage des maçonneries, relevé, par J. Mastrolorenzo, 2002.
Fig. 12
Logis 12e s. : élévation sur cour postérieure, avec phasage des maçonneries et restitution des ouvertures XVIe siècle, relevé, par J. Mastrolorenzo, 2002.
Fig. 13
Logis 12e s. : élévation sur cour postérieure, avec phasage des maçonneries et restitution des baies originelles, relevé, par J. Mastrolorenzo, 2002.
Fig. 14
Plan du rez-de-chaussée (la partie gauche du plan, chaufferie, citerne, correspond à une autre demeure, l'ancienne maison de la chapelle de Saint-Blaise), par Masson-Berthelot, 1998.
Fig. 15
Plan du 1er étage (la partie gauche du plan, deux chambres et une terrasse, correspond à une autre demeure, l'ancienne maison de la chapelle de Saint-Blaise), par Masson-Berthelot, 1998.
Fig. 16
Plan du 2e étage (la partie gauche du plan, avec trois chambres, correspond à une autre demeure, l'ancienne maison de la chapelle de Saint-Blaise), par Masson-Berthelot, 1998.
Fig. 17
Ensemble des élévations sur rue, de la lettre C à la lettre A (la partie à gauche, lettres D et E, correspond à une autre demeure, l'ancienne maison de la chapelle de Saint-Blaise), par Masson-Berthelot, 2002.
Fig. 18
Elévations sur cour du corps sud-ouest sur rue (les deux travées gauches, lettre G, n° 7) et du logis principal (lettre I, n° 3-5), par Masson-Berthelot, 2002.
Fig. 19
Coupe transversale du corps sud-ouest sur rue (n° 7) et élévation latérale droite sud-ouest du logis principal (lettre H, n° 3-5), par Masson-Berthelot, 2002.
Fig. 20
Elévation sur cour d'un corps de bâtiment 19e s. (au sud-ouest de la propriété, lettre F) et coupe transversale du corps sud-ouest sur rue (n° 7), 2002.
Fig. 21
Essai de reconstitution des élévations, lithogr., 19e s.
Fig. 22
Logis principal, aile droite : élévation sur rue (vestige de l'édifice du 12e s.). Restitution photogrammétrique, par Gilles Lafosse, 1987.
Fig. 23
Vue d'ensemble sur rue, depuis le nord, avec les parties de communs au 1er plan.
Fig. 24
Vue d'ensemble sur rue depuis le sud avec le pignon sur rue du logis principal XIIe s. au 1er plan.
Fig. 25
Vue d'ensemble sur rue depuis le sud avec le logis 16e s. (B).
Fig. 26
Logis principal 12e s., aile droite (A1 : pignon sur rue). Etat après restauration.
Fig. 27
Logis principal 12e s., aile droite, élévation sur rue, rez-de-chaussée : vestiges de deux baies en plein-cintre.
Fig. 28
Logis principal 12e s., aile droite, pignon sur rue, premier niveau, travée gauche : vestiges du seuil d'une porte.
Fig. 29
Logis principal, aile droite, pignon sur rue, 1er niveau, baie romane de gauche, partie supérieure gauche : détail sur la moulure concave de l'arc et son décor de ruban plissé.
Fig. 30
Logis principal, aile droite, pignon sur rue, 1er niveau, baie romane de droite, partie supérieure droite : décor de ruban plissé sur le front de l´arc et trace d´un remplage.
Fig. 31
Logis principal 12e s., aile droite, élévation sur rue, 1er étage, partie gauche : colonnette d'angle engagée et vestiges d'une baie géminée en plein-cintre.
Fig. 32
Logis principal, aile droite, pignon sur rue, colonne d'angle d'étage : dégagement de la base (travaux de restauration, nov. 2002).
Fig. 33
Logis principal 12e s., aile droite, élévation sur rue, 1er étage, partie droite : vestiges d'une baie géminée en plein-cintre et d'une colonnette d'angle engagée.
Fig. 34
Logis principal 12e s., aile droite, élévation sur rue, pignon : vestige de baie.
Fig. 35
Logis principal 12e s. aile droite, élévation est : vestiges extérieurs du portail (d) et de la fenêtre géminée (c1) sur l'ancienne cour d'entrée.
Fig. 36
Logis principal 12e s., aile droite, élévation est : vestige masqué du portail (d) sur l'ancienne cour d'entrée.
Fig. 37
Logis principal 12e s., corps principal : vestiges de la fenêtre nord sur l'ancienne cour d'entrée.
Fig. 38
Logis principal 12e s., aile gauche (A1), angle antérieur gauche, premier étage : colonnette d'angle engagée.
Fig. 39
Logis principal 12e s., aile droite, élévation latérale droite, partie gauche et supérieure du premier étage : vestiges de l'arc en plein-cintre d'une baie géminée (f), vue depuis les combles du logis 15e (ouest).
Fig. 40
Logis principal 12e s., corps principal : élévation sud, en 1982.
Fig. 41
Logis principal 12e s., corps principal, élévation postérieure, vestige d'une baie 12e s. sous l'enduit.
Fig. 42
Logis principal 12e s., corps principal, élévation postérieure : colonne d'angle sud-est.
Fig. 43
Vestiges du portail menant à une ancienne cour de communs, partie nord des élévations sur rue.
Fig. 44
Logis sud-ouest (B), élévation sur rue, état avant restauration de 2003.
Fig. 45
Logis sud-ouest (B), élévation sur rue, état après la restauration de 2003.
Fig. 46
Logis sud-ouest (B) : portail sur rue, avant restauration de 2003.
Fig. 47
Corps de logis sud-ouest, fenêtre d'étage gauche sur rue : détail sur le jambage gauche avec trace de la traverse de croisée en pierre (travaux nov. 2002)
Fig. 48
Corps de logis sud-ouest, élévation sur rue, 1er étage : trou de boulin extrême gauche.
Fig. 49
Corps de logis sud-ouest, élévation sur rue, détail de la corniche entre les deux fenêtres de droite (travaux nov. 2002)
Fig. 50
Logis sud-ouest (B), élévation sur rue, extrémité droite, 1er étage : petite baie murée.
Fig. 51
Logis sud-ouest (B), façade sur cour.
Fig. 52
Corps d'escalier 16e s., à la jonction du logis principal 12e s. et du logis sud-ouest : élévation sur cour.
Fig. 53
Façade sur cour du logis 19e s. à gauche, et au centre et à droite, extension 19e s. (élévation en tuffeau) du corps principal en schiste enduit du logis 12e s. (actuelle chapelle).
Fig. 54
Logis principal, corps principal, 1er étage, chapelle : vue d'ensemble du vaisseau depuis la tribune, en axe sud-ouest - nord-est.
Fig. 55
Logis principal 12e s., aile droite, comble : ferme de tête avec au fond le pignon sur rue.
Fig. 56
Logis principal 12e s., aile droite, comble : ferme de tête, chapiteau ornant le poinçon à hauteur du sous-faîtage disparu.
Fig. 57
Jonction du logis sud-ouest (B) et de l'aile droite (A2) du logis principal 12e s., à hauteur des combles. Au 1er plan, la ferme de tête gauche de l'aile droite.
Fig. 58
Logis principal 12e s., corps principal, partie antérieure droite du comble : charpente et extrados de la fausse-voûte lambrissée couvrant l'actuelle chapelle, vue depuis l'aile droite.
Fig. 59
Logis sud-ouest sur rue : comble en axe longitudinal depuis le nord-est. Au fond, pignon droit (au sud-ouest).

Voir

Angers, Présentation de l'aire d'étude Angers intra-muros
Angers, Centre-ville (quartier), Demeures du centre historique (intra-muros)
Angers, Centre-ville (quartier), L'habitat communal

Région des Pays de la Loire - Service du Patrimoine / Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire. Chercheur(s) : Letellier-d'Espinose Dominique ; Biguet Olivier. (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général ; (c) Ville d'Angers. Renseignements : Centre de ressources, 1 rue de la Loire, 44966 Nantes cedex 9, tél. 02 28 20 54 70 - courriel : doc.patrimoine@paysdelaloire.fr - Document produit par Renabl6 : (c) Pierrick Brihaye (Région Bretagne) / Yves Godde (Ville de Lyon)