Inventaire général du patrimoine culturel
Région des Pays de la Loire/Service du Patrimoine
Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire
inventaire topographique

Pays de la Loire, Maine-et-Loire

Angers, Centre-ville (quartier), Sainte-Croix (place) 1

Maison d'apothicaire, dite maison d'Adam et Eve ou maison d'Adam ou maison de l'Arbre-de-Vie

Type de dossier : individuel Oeuvre sélectionnée Date de l'enquête : 1982

Références documentaires

Référence de la même oeuvre dans le domaine MH : PA00108927

Désignation

Dénomination : maison
Genre du destinataire : d'apothicaire
Appellation et titre : maison d' Adam et Eve, ou maison d'Adam , ou maison de l'Arbre-de-Vie
Partie(s) constituante(s) non étudiée(s) : cour ; boutique ; puits

Compléments de localisation

Référence(s) cadastrale(s) : 1840 H2 1149 ; 1980 DE 13 ; 1999 DE 13
Numéro INSEE de la commune : 49007
Aire : Angers intra-muros
Canton : Angers Centre
Milieu d'implantation : en ville

Historique

Commentaire historique : Cette célèbre maison est datée avec précision grâce à une dendrochronologie effectuée en 2001 sur la charpente de toit et situant la construction peu après 1491, année d´abattage des bois. Selon les sources fiscales de l´Ancien Régime, le commanditaire était un apothicaire du nom de Jean Lefèvre ou Jean Lebreton ; fille (?) du premier et veuve du second, Renée Lefèvre s´en déclare propriétaire en 1526. La famille Lefèvre occupe déjà les lieux en 1415, date à laquelle un certain Pierre déclare au chapitre Saint-Maurice le logis préexistant dit du Minage, déjà qualifié de grande maison.

Le marchand et notable Jacques Richard (futur maire, qui fera reconstruire l´hôtel voisin de Thévalle), détient ensuite la maison d´Adam par sa femme, fille de l´apothicaire René Berthaut succédant à Lebreton (source de 1544). D´autres notables y seront établis, dont deux juges consuls de la juridiction des marchands, Jean Jolivet en 1686 (marchand de drap de laine) et son gendre Michel Adam en 1714 (marchand de draps de soie). Ce dernier patronyme n´est pas à l´origine de l´appellation. En effet, les différentes désignations liées aux figures sculptées sur le poteau d´angle du rez-de-chaussée remontent au moins au 17e siècle : « maison d´Adam et Eve » dans un censif de 1684, « autrefois maison d´Adam » dans la vente de 1686, « maison de l´Arbre de vie » dans celle de 1714.

La description de la ville d´Angers faite en 1778 par le prêtre Julien Péan de la Tuillerie ne mentionne de ce logis que le poteau d'angle, remarqué pour son iconographie. A la Révolution sont détruites les grandes figures en pied d'Adam et d'Eve (avec le serpent) de part et d'autre du pommier, seul à rester en place. L´intérêt pour l'ensemble des façades sculptées et peintes apparaît dans une description de 1834 par Jacques-André Berthe, autre chroniqueur du temps. Signalant le vandalisme révolutionnaire, il déplore les remaniements survenus vers 1814 : modification du grand pignon par une demi-croupe sur la place Sainte-Croix, suppression des fermes de tête des lucarnes à pignons sur la rue Montault, plâtrage du hourdis de briques apparentes.

Cet état perdure jusqu´à la restauration des façades, sous la conduite de Bernard Vitry, architecte des Monuments historiques, et de son correspondant local, Henri Enguehard : les travaux, entre 1951 et 1954 place Sainte-Croix, voient le rétablissement du grand pignon et la réfection des poteaux sculptés à partir du troisième étage carré. La sculpture est alors confiée à Marcel Main ponte, établi à Bagnolet. Puis les travaux se poursuivent rue Montault, entre 1964 et 1967. La dernière et lourde restauration fut entreprise en 1994 sous la direction de l´architecte des Monuments historiques, Gabor Mester de Paradg. La distribution d´origine des parties communes fut néanmoins conservée, couloir, escalier ainsi que les portes palières en plein-cintre du 2e étage (sauf leurs vantaux de portes, en place avant 1994).

Dans ce dernier chantier fut incluse la maison voisine du 17 rue Montault, attachée à la maison d´Adam depuis le 16e siècle (propriété Richard en 1544). Les deux logis étaient auparavant reliés sur la courette par une galerie d´étage refaite dans la 2e moitié du 19e siècle, supprimée lors de la dernière restauration. Ils sont désormais indépendants avec étages divisés en appartements. Seuls les rez-de-chaussée à usage commercial sont rassemblés et dévolus, depuis 1992, à la boutique de « La maison des artisans » .

Les musées d´Angers conservent dans leurs réserves un fragment de poteau sculpté figurant un porteur de fagot et un culot représentant un chien (celui-ci donné en 1840 par la veuve Loiron, alors propriétaire).
Datation(s) principale(s) : 4e quart 15e siècle
Datation(s) secondaire(s) : 1er quart 19e siècle ; 3e quart 20e siècle
Date(s) : 1491
Justification de la datation : daté par source
Auteur(s) : Vitry Bernard (architecte des Monuments historiques) ; Mainponte Marcel (sculpteur) ; Enguehard Henri (architecte) ; Mester de Paradj Gabor (architecte des Monuments historiques)
Personne(s) liée(s) à l'histoire de l'oeuvre : Lefèvre Jean (commanditaire) ; Lebreton Jean (commanditaire)

Description

Commentaire descriptif : Parcelle d'angle, de plan presque carré, d'environ 8 m x 10 m. Corps de logis unique en L, avec courette postérieure, où prend jour la grosse vis circulaire de pierre (2,60 m de diamètre intérieur) ; celle-ci est accessible par un couloir latéral (éclairé sur la place par un porte surmontée d´un jour) et dessert deux grandes pièces en profondeur sur la rue Montault.

La demeure est à trois étages carrés et deux étages de combles : ces derniers s'éclairent dans le large pignon unique de la façade principale, place Sainte-Croix, et par la double lucarne monumentale de la façade latérale, rue Montault. La présence d´un petit entresol n´est pas assuré, ses éventuelles traces dans la cage d´escalier (marche palière et portes murées) pouvant également correspondre à des remplois de la « grande maison » précédente.

La couverture principale est faite de deux longs pans, sur l´un desquels s´appuient, par des noues, les longs pans des grandes lucarnes latérales (rue Montault).

Les deux façades sur rues (sud et ouest) sont en pan de bois sur un solin de pierre. Les élévations sur cour (nord et est) sont en tuffeau et les murs mitoyens en maçonnerie mixte. La mise en oeuvre du pan de bois est élaborée : étages en surplomb sur poteaux élargis, panneautage à losange (motif crée par l´assemblage à tenons et mortaise de décharges et de guettes faiblement espacées), hourdis originellement en brique, puis en mortier de ciment (1952), actuellement en iso chanvre. Sur la façade principale (côté place), les sablières sont dédoublées à chaque niveau et prennent appui sur un poteau central.

Trois « avancements » sur la voie publique sont dûment signalés en 1544 : la tourelle d´angle « en forme d´escriture ou comptouer à pans » s´élevant sur les deux premiers étages carrés, le petit avant-corps de la rue Montault assurant un minuscule passage en surplomb « pour aller d´une chambre à l´autre » à chacun des trois étages carrés, ainsi qu´une avancée sous la chaussée (probable descente de cave, non retrouvée).

Les poteaux et sablières moulurées portent un riche décor sculpté, encore polychrome au début du 19e siècle (étudié dans la base Palissy).

D´aspect homogène, les caves du sous-sol sont voûtées en berceau segmentaire et appareillées en tuffeau ; à l´exception du palier d´escalier voûté d´ogives chanfreinées. Accessible à ce niveau, le puits adossé au mur mitoyen du 17 rue Montault présentait aussi une ouverture dans l´angle nord-est de la cour (aujourd´hui transformée en porte).
Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : bois ; pan de bois ; brique ; enduit partiel ; tuffeau ; grand appareil ; moyen appareil ; schiste ; moellon sans chaîne en pierre de taille ; enduit
Matériau(x) de couverture : ardoise
Vaisseau(x) et étage(s) : sous-sol ; entresol ; 3 étages carrés ; 2 étages de comble
Type et nature du couvrement : voûte en berceau segmentaire ; voûte d'ogives
Parti d'élévation extérieure : élévation à travées ; élévation ordonnancée
Type de la couverture : toit à longs pans ; pignon couvert ; noue ; appentis
Emplacement, forme et structure de l'escalier : escalier dans-oeuvre : escalier en vis sans jour, en maçonnerie
Technique du décor : sculpture (étudiée dans la base Palissy) ; menuiserie
Représentation : pli en serviette
Précision sur la représentation : Au deuxième étage, les deux portes sur l'escalier conservaient encore des vantaux à pli en serviette.
Typologie : Maison marchande des XVe-XVIe siècles : façade en pan de bois, structure savante (type A1a).
Etat de conservation : restauré

Intérêt de l'oeuvre

Intérêt de l'oeuvre : à signaler
Elément(s) remarquable(s) : sous-sol ; élévation ; escalier
Observations : L'une des plus célèbres maisons en pan de bois gothiques de France. Sa datation précise et l´identification du maître d´ouvrage - un apothicaire, homme de savoir et commerçant fortuné - ajoutent à l´intérêt de la maison d´Adam, grande référence locale dans cet art de bâtir : les belles façades à motifs losangés de l'élite marchande angevine s'inscrivent dans son sillage tout au long du 16e siècle, sans jamais atteindre un tel gabarit. Seule pouvait lui être comparée, par la monumentalité et la richesse décorative, la maison Girard-Abraham sur la place Romain, alter ego de la fin de la Renaissance, qui fut détruite en 1871. Il est dommage que la restauration de la maison d´Adam n´ait pas été précédée d´une étude archéologique de bâti qui aurait peut-être aidé à résoudre certaines interrogations sur les remplois antérieurs, notamment dans la cage d´escalier.

Situation juridique

Statut de la propriété : propriété de la commune
Date(s) et nature de la protection MH : 1922/09/28 : classé MH partiellement
Précisions sur la protection : Façades : classement par arrêté du 28 septembre 1922.

Vue de situation sur la place.


Annexes

  1. FRAGMENTS SCULPTES (réserves des musées d'Angers)

    Sculptures provenant de la maison d'Adam, conservées dans les réserves des musées d'Angers (sous-sol de l'église paroissiale Notre-Dame) : un porteur de fagots très âbimé, fragment d'un poteau de façade (H 1,06 x L 0,33 x Pr 0,19) et un culot figurant un chien se grattant, sans doute détaché d'une ferme de tête lors de travaux vers 1814 (celle sur la place probablement, refaite à neuf (Musées d'Angers, don de Mme veuve Loiron, inv GF 2172).




Illustrations

Fig. 1
Vue de situation sur la place.
Fig. 2
Plan-masse et de situation. D'après le plan cadastral, 1980, section DE, parcelle 13, éch. 1 : 500, agrandi.
Fig. 3
Plan-masse et de situation. D'après le plan cadastral, 1840, section H2, parcelle 1149, éch. 1 : 1 000.
Fig. 4
Plan schématique de couverture.
Fig. 5
Plan schématique du rez-de-chaussée.
Fig. 6
Plan schématique des caves.
Fig. 7
Plan du rez-de-chaussée et des étages, par J. Hardion, 1915.
Fig. 8
Elévation sur la rue Montault, avec coupe transversale à hauteur de la lucarne-pignon de gauche, par J. Hardion, 1956.
Fig. 9
La maison dite d'adam et éve à Angers au coin de la place neuve et de la place Ste Croix, dessin, par J.-A. Berthe, 1834.
Fig. 10
Maison d'Adam de la place neuve Angers, dessin, par P. Hawke, 1836.
Fig. 11
Elévation antérieure, sur la place Sainte-Croix, dessin, par F. Benoist, [av. 1843].
Fig. 12
Elévation latérale gauche sur la rue Montault, par F. Benoist, [av. 1843].
Fig. 13
Vue d'ensemble, depuis la place, photogr., fin 19e siècle.
Fig. 14
Façade sur rue, 1er niveau : vue axée sur le poteau d'angle portant l'arbre de vie, photogr., de L. Roy, 1931.
Fig. 15
Pignon sud et façade ouest, esquisse au fusain, [s. n.], [s. d.]
Fig. 16
Pignon sud : porte d'entrée, dessin, [s. n.], [s. d.].
Fig. 17
Vue d'ensemble en 1984, sur la rue Montault (à gauche) et la place Sainte-Croix (à droite).
Fig. 18
Vue d'ensemble en 1979, sur la rue Montault (à gauche) et la place Sainte-Croix (à droite).
Fig. 19
Vue de situation, depuis la tour Saint-Aubin.
Fig. 20
Elévation sur la rue Montault.
Fig. 21
Logis, faces postérieures nord (au centre de l'image) et ouest (à droite), sur la cour : vue en contreplongée. A gauche, mur mitoyen avec la maison située 3, place Sainte-Croix.
Fig. 22
Façade postérieure sur la cour, avec fenêtre de l'escalier à soffite surélevé, à hauteur du 2e étage.
Fig. 23
Façade postérieure sur la cour, avec fenêtre de l'escalier à soffite surélevé, à hauteur du 3e étage.
Fig. 24
Façade postérieure sur la cour : vestige d'un rampant de pignon à hauteur du 1er niveau de comble.
Fig. 25
Couloir actuel et 1ère révolution de l'escalier.
Fig. 26
Base de la vis de l'escalier.
Fig. 27
1er étage : pièce postérieure, angle postérieur droit (au premier plan) et pièce postérieure, partie droite (au-delà du poteau de soutien central des planchers et charpente) ; et cage d'escalier à la jonction des deux pièces.
Fig. 28
1er étage : poteau central de soutien des planchers à l'aplomb du poinçon central de la charpente.
Fig. 29
1er étage, pièce postérieure : mur latéral droit longeant la cour constitué de pierres de taille de grand appareil appelé "barraudes"; à droite, porte d'accès à l'escalier.
Fig. 30
Galerie de liaison dans la cour, à hauteur du 1er étage, menant à la maison voisine, 17 rue Montault : vantail d'une porte.
Fig. 31
2e étage : les deux portes donnant sur le palier de l'escalier.
Fig. 32
2e étage, pièce antérieure : mur postérieur constitué de pierres de taille de grand appareil appelées "barraudes", et angle postérieur droit avec la cage d'escalier.
Fig. 33
3e étage, pièce antérieure : cloison latérale gauche en pan-de-bois et mur postérieur constitué de pierres de taille de grand appareil appelées "barraudes".
Fig. 34
3e étage, pièce postérieure : mur antérieur constitué de pierres de taille de grand appareil appelées "barraudes".
Fig. 35
1er niveau de comble : escalier d'accès au comble supérieur, vu depuis l'accès principal.
Fig. 36
Sous-sol, escalier : arc brisé marquant l'entrée, positionné dans la partie supérieure de la descente de cave.
Fig. 37
Sous-sol, escalier : voûte d'ogives de la descente de cave.
Fig. 38
Sous-sol, escalier : voûte d'ogives de la descente de cave dans sa partie inférieure et entrée de la cave antérieure.
Fig. 39
Sous-sol, cave antérieure, partie gauche, vue en axe gauche-droite avec l'arc-doubleau brisé divisant la cave en deux.
Fig. 40
Sous-sol, cave postérieure, vue en axe gauche-droite.
Fig. 41
Sous-sol, passage de dégagement, sous la cour, adjacent à l'escalier et menant à la cave postérieure : puits dans l'angle postérieur droit.
Fig. 42
Tourelle d'angle, cul-de-lampe et rez-de-chaussée.
Fig. 43
Pignon sud, 1er niveau, poteau central : couple galant.
Fig. 44
Pignon sud, 1er niveau, poteau d'huisserie gauche : joueur de flûte.
Fig. 45
Pignon sud, 1er niveau, poteau d'huisserie droit : joueur de cornemuse.
Fig. 46
Pignon sud, 2e niveau, fenêtre gauche : saint Georges terrassant le dragon.
Fig. 47
Pignon sud, 2e niveau, fenêtre gauche : saint Georges terrassant le dragon.
Fig. 48
Pignon sud, 2e niveau, poteau central : centaure.
Fig. 49
Pignon sud, 2e niveau, poteau-cornier droit : centaure.
Fig. 50
Pignon sud, 3e niveau, poteau-cornier gauche : oiseau.
Fig. 51
Pignon sud, 3e niveau, poteau central : centaure.
Fig. 52
Pignon sud, 3e niveau, poteau-cornier droit : chauve-souris affrontées.
Fig. 53
Pignon sud, 4e niveau, poteau-cornier gauche : animal fabuleux.
Fig. 54
Pignon sud, 4e niveau, poteau central : buveur de vin.
Fig. 55
Pignon sud, 4e niveau, poteau-cornier droit : sirène.
Fig. 56
Pignon sud, 5e et 6e niveaux, poteau central : vigneron.
Fig. 57
Façade ouest, 2e niveau, poteau-cornier gauche : culot.
Fig. 58
Façade ouest, 1er niveau, colonne gauche : Annonciation, figure de la Vierge.
Fig. 59
Façade ouest, 1er niveau, poteau d'huisserie gauche : Annonciation : l'ange Gabriel.
Fig. 60
Façade ouest, 1er niveau, poteau d'huisserie droit : l'ange saint Michel repoussant Lucifer
Fig. 61
Façade ouest, avant-corps central, 2e niveau, colonne d'angle gauche : ange culot.
Fig. 62
Façade ouest, avant-corps central, 2e niveau, colonne d'angle droite : ange culot et sablière d'étage : engoulant.
Fig. 63
Façade ouest, 2e niveau, poteau-cornier gauche : Samson et le lion.
Fig. 64
Façade ouest, 2e niveau, poteau d'angle droit.
Fig. 65
Façade ouest, avant-corps central, 2e niveau, colonne d'angle gauche : femme accroupie.
Fig. 66
Façade ouest, avant-corps central, 2e niveau, colonne d'angle droite : homme grimpant.
Fig. 67
Façade ouest, 2e niveau, travée droite, colonne d'angle gauche : arabesques.
Fig. 68
Façade ouest, 2e niveau, travée droite, colonne de jonction avec la tourelle : pélican et ses petits.
Fig. 69
Façade ouest, 3e niveau, poteau-cornier gauche : sphinx.
Fig. 70
Façade ouest, avant-corps central et travée gauche, 3e niveau, poteaux d'angle : personnages dont un guerrier.
Fig. 71
Façade ouest, avant-corps central, 3e niveau, colonne d'angle gauche : guerrier vu de dos.
Fig. 72
Façade ouest, avant-corps central, 3e niveau, colonne d'angle droite : animal fabuleux.
Fig. 73
Tourelle d'angle, façade ouest, 3e niveau, colonnette d'angle intérieure : Phénix.
Fig. 74
Façade ouest, 4e et 5e niveaux, poteaux-corniers gauches : dauphin et singe grimpant.
Fig. 75
Façade ouest, travée gauche et avant-corps central, colonnes d'angles : personnages dont un mendiant à béquilles.
Fig. 76
Façade ouest, avant-corps central, 4e niveau, colonnes d'angle droites, personnages (bourgeois et paysan).
Fig. 77
Façade ouest, 4e niveau, fenêtre droite, colonnette droite : griffon.
Fig. 78
Façade ouest, 5e niveau, colonnette d'angle droite : moine.
Fig. 79
Culot de poinçon figurant un chien, vestige de la ferme de tête principale, sur la place. Réserves des musées d'Angers
Fig. 80
Vestige d'un poteau sculpté figurant un porteur de fagot. (Réserves des Musées d'Angers).

Voir

Angers, Présentation de l'aire d'étude Angers intra-muros
Angers, Centre-ville (quartier), Demeures du centre historique (intra-muros)
Angers, Centre-ville (quartier), L'habitat communal

Région des Pays de la Loire - Service du Patrimoine / Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire. Chercheur(s) : Letellier-d'Espinose Dominique ; Biguet Olivier. (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général ; (c) Ville d'Angers. Renseignements : Centre de ressources, 1 rue de la Loire, 44966 Nantes cedex 9, tél. 02 28 20 54 70 - courriel : doc.patrimoine@paysdelaloire.fr - Document produit par Renabl6 : (c) Pierrick Brihaye (Région Bretagne) / Yves Godde (Ville de Lyon)