Inventaire général du patrimoine culturel
Région des Pays de la Loire/Service du Patrimoine
Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire
inventaire topographique

Pays de la Loire, Maine-et-Loire

Angers, Centre-ville (quartier), Saint-Evroult (rue) 13, 15

Hôtel de la Haute-Mule

Type de dossier : individuel Oeuvre sélectionnée Date de l'enquête : 1986

Désignation

Dénomination : hôtel
Appellation et titre : de la Haute-Mule
Partie(s) constituante(s) non étudiée(s) : cour ; jardin ; communs

Compléments de localisation

Référence(s) cadastrale(s) : 1840 J 358, 359 ; 1980 DH 462, 463 ; 1999 DH 462, 463
Numéro INSEE de la commune : 49007
Aire : Angers intra-muros
Canton : Angers Centre
Milieu d'implantation : en ville

Historique

Commentaire historique : Propriété de l´abbaye de Fontevraud et connue sous ce nom dès le 13e siècle, l´hôtel de la Haute-Mule est reconstruit à partir de 1546 aux frais de René Collas, chanoine de la cathédrale et locataire des lieux, par l´architecte Nicolas Viriot dit le Lorrain (selon plusieurs marchés de construction). Le portail piétonnier sur rue (n° 15) présente une niche centrale avec la date 1550 et un socle vide qui devait porter une mule, emblème du lieu. Dès cette époque, un mur divise la cour d´entrée et le long corps de logis, entre partie neuve (n° 15) et partie plus ancienne qui fut simplement rhabillée (n° 13). Ce grand corps d´habitation appuie ses deux niveaux de caves sur le mur de l´enceinte urbaine du 3e siècle qui longe la rue Toussaint. Attestés par les textes, la cuisine avec sa cheminée, le bûcher à côté, sont encore en place au premier niveau de sous-sol (n° 13).

En 1653, la demeure passe de l´abbaye de Fontevraud à la famille Le Clerc, qui fait édifier le pavillon postérieur du logis, dominant la rue Toussaint et modifie la distribution intérieure. La pièce gauche du rez-de-chaussée conserve une cheminée du 4e quart du 18e siècle, due à la famille de Varennes, propriétaire de 1680 à la Révolution.

L´édifice est fortement remanié dans la 1ère moitié du 19e siècle, notamment par la surélévation sur cour du logis et une pièce en hémicycle au sud. En 1851, l´édifice relève de deux propriétés (n° 13 et 15, séparation déplacée au niveau de la tour d´escalier). En 1855, la création d´un vestibule en avant-corps sur la cour d´entrée (n° 15) entraîne la destruction de l´aile latérale sud (où se situait la chapelle). Vers 1896, les lucarnes postérieures sont fortement restaurées.

A partir de 1937, de lourds travaux menés par l´architecte Gabriel Baron, affectent la partie gauche du logis (n° 13) : reprise complète de la tour d´escalier, destruction de quatre lucarnes sur la rue Toussaint, conversion des communs sur rue (n° 13) en habitation. En 1992, la restauration du corps d´entrée (n° 15) a fait réapparaître un bandeau d´étage et une niche ronde avec l´empreinte d´un buste, au-dessus de l´actuelle porte cochère (du 19e siècle).
Datation(s) principale(s) : milieu 16e siècle
Datation(s) secondaire(s) : 2e moitié 17e siècle ; 4e quart 18e siècle ; 1ère moitié 19e siècle ; 3e quart 19e siècle
Date(s) : 1546 ; 1550 ; 1855 ; 1937
Justification de la datation : porte la date ; daté par source ; daté par travaux historiques
Auteur(s) : Viriot Nicolas, dit : Le Lorrain (maçon) ; Baron Gabriel (architecte)
Justification de l'attribution : attribution par source
Personne(s) liée(s) à l'histoire de l'oeuvre : Collas René (commanditaire) ; Boussinot (commanditaire)

Description

Commentaire descriptif : Edifice situé sur une très vaste parcelle de la Cité en bordure sud du rempart de ville (environ 1200 m2). Il est constitué d´un grand corps de logis de plan allongé et à travées, orienté sur une double cour d´entrée, principale et de service, son revers flanqué d´un corps en pavillon (angle sud-est), le long d´une terrasse sur le mur de ville antique. Parallèles au logis, deux corps de bâtiment secondaires bordent la rue : celui de droite (n° 15) formant galerie était traversé par un passage d´entrée piétonnier (muré, inscrit dans une composition à travée avec niches de couronnement) ; celui de gauche initialement destiné aux écuries comportait une porte charretière (n° 13). Un jardin en terrasse borde le logis à droite (vers ouest).

Les élévations sont en schiste enduit, à l´exception du pignon gauche du grand corps de logis et du pavillon sud-est adjacent, en tuffeau.

Les parties sur rue sont à un étage carré (probablement éclairé à l´origine de baies en plein-cintre, d´après les vestiges ou sources iconographiques) et comble à surcroît ; le grand corps d´habitation était originellement en rez-de-chaussée - surélevé sur la cour, de plain-pied sur la terrasse postérieure - et comble à surcroît, aujourd´hui à un étage carré (sauf la partie postérieure gauche, côté rempart, qui présente encore deux lucarnes en place).

Les couvertures sont à longs pans et pignons couverts - un pignon découvert subsiste à l´extrémité droite du grand corps. Certaines surélévations se sont traduites par des combles brisés, sur la partie gauche.

En façade du grand corps (un peu décentré), l´escalier principal est une tour demi-hors-oeuvre, initialement une vis en maçonnerie, aujourd´hui un escalier en bois, à retours avec jour, suspendu. Il était couvert d´un toit en pavillon, remplacé maintenant par deux longs pans et pignon couvert en façade. Il ne dessert aujourd'hui que la partie gauche (n° 13). Un escalier moderne dessert la partie droite (n° 15), également en bois, à retours avec jour, suspendu. Un corps de vestibule hors-oeuvre, monumental, précède cette partie droite remplaçant une aile en retour où se trouvait autrefois la chapelle.

Le premier sous-sol (ancien niveau de service) est couvert de plafonds, le second (caves), de voûtes en schiste, en berceau segmentaire et en anse-de-panier.
Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : schiste ; moellon ; enduit ; tuffeau ; moyen appareil ; appareil mixte
Matériau(x) de couverture : ardoise
Vaisseau(x) et étage(s) : 2 étages de sous-sol ; en rez-de-chaussée surélevé ; rez-de-chaussée surélevé ; 1 étage carré ; étage en surcroît
Type et nature du couvrement : voûte en berceau segmentaire ; voûte en berceau en anse-de-panier
Parti d'élévation extérieure : élévation à travées
Type de la couverture : toit à longs pans ; toit à longs pans brisés ; pignon découvert ; croupe ; toit en pavillon ; noue ; terrasse
Emplacement, forme et structure de l'escalier : escalier demi-hors-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour, en charpente, suspendu ; escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour, en charpente, suspendu
Technique du décor : sculpture
Représentation : pilastre, cartouche, ove ; ordre dorique ; guirlande, rose, mufle de lion
Précision sur la représentation : Le portail sur rue présente au-dessus du passage un décor de tables et de niches, certaines à encadrement d'oves, dont une niche centrale cantonnée de pilastres doriques et renfermant un cartouche avec la date 1550. La façade du corps de vestibule au n° 15 est constituée de quatre colonnes doriques portant un entablement. La cheminée de la pièce contre le pignon gauche porte sur le manteau trois plaques de marbre, l'une à guirlande de roses, les deux autres à mufle de lion.
Typologie : Hôtel à cour antérieure (type A).
Etat de conservation : restauré

Intérêt de l'oeuvre

Elément(s) remarquable(s) : portail ; cheminée ; galerie
Observations : Imposante demeure de la Cité épiscopale, historiquement importante puisque maison de ville de la prestigieuse abbaye de Fontevraud. A l´exception de l´hôtel de Bellebranche dans la Doutre, Angers ne conserve pas d´autres témoins de logis urbains relevant de communautés religieuses de l´Anjou (ou de provinces avoisinantes). Malgré les profondes altérations, les archives et l´analyse architecturale permettent d´apprécier la qualité de cette habitation des débuts de la Seconde Renaissance : des éléments remarquables ont ainsi pu être établis, la composition du portail à l´origine orné de motifs en pointes de diamant autour de la porte, la structure rare du grand corps d´habitation avec ses deux salles superposées (l´une au rez-de-chaussée, l´autre dans un comble à surcroît) proche de certains manoirs bretons, ou encore la spectaculaire façade sur le rempart de la Cité, avec sa suite de six lucarnes (avant les dénaturations). Méritent aussi d´être signalés les deux étages de sous-sol du logis, à l´instar du Logis Barrault ou de l´hôtel de Thévalle.

Situation juridique

Statut de la propriété : propriété privée

Vue de situation.


Synthèse

Historique détaillé

L´hôtel de la Haute-Mule apparaît sous cette appellation comme propriété de l´abbaye de Fontevraud dès le 13e siècle (mentions dans deux actes de donation et de vente de 1219 et 1221) et pouvait accueillir les étudiants religieux, servir de logis d´étape, ou tout simplement de maison de rapport.

Il est reconstruit à partir de 1546 pour René Collas, chanoine de la cathédrale et locataire des lieux depuis 1543. La construction antérieure étant à l'état de ruines, René Collas a la charge de la réédifier moyennant un bail à vie et fait appel au maçon Nicolas Viriot dit le Lorrain. Cette réédification conserve néanmoins la partie gauche (n° 13) mentionnée comme le vieil logis dans les marchés de construction, qui fut seulement rhabillé.

La partie haute du portail piétonnier sur rue (n° 15) présente une niche centrale avec la date 1550 (fin des travaux ?) et un socle vide qui devait porter une mule, emblème du lieu signalé également dans un marché de construction ; dans ce même marché sont mentionnés quatre blasons - disparus - aux armes de France, de Fontevraud, de René Collas lui-même et d´un certain Nicolas Bouchard. Un mur divise déjà à cette époque la cour d´entrée en deux, entre partie neuve (n°15) et plus ancienne (n° 13). Le grand corps d´habitation s´appuie sur deux niveaux de caves remployant au sud,vers la rue Toussaint, le mur de l´enceinte urbaine du 3e siècle ; attestés par les textes, la cuisine avec sa cheminée, le bûcher à côté, sont encore en place au premier niveau de sous-sol (n° 13).

Des personnes de renom y résident aux 16e et 17e siècles, soit durablement comme Charles de Brie, seigneur de Serrant, puis Pierre Donadieu de Puycharic, gouverneur du château, soit lors d´un passage comme Richelieu. En 1653, la demeure quitte Fontevraud pour la famille Le Clerc, qui fait édifier le pavillon postérieur du logis, dominant la rue Toussaint : une toile peinte aux armes de cette famille en ornait le plafond (déplacée durant la 2e moitié du 19e siècle dans une propriété à Bouchemaine, près d´Angers). Les différents membres de la famille Le Clerc se partagent l´hôtel et modifient la distribution intérieure. En 1680, l´hôtel passe par mariage à la famille de Varennes qui le garde jusqu´à la Révolution. La pièce gauche du rez-de-chaussée conserve une cheminée du 4e quart du 18e siècle.

L´édifice connaît d´importants remaniements tout au long du 19e siècle et dans la 1ère moitié du 20e siècle :

En 1828, il est acquis par Marie-Lazare Moreau, à l´initiative de nombreux travaux : les surélévations côté cour lui reviennent probablement ; peu avant 1840, une extension en hémicycle aménagée au sud du logis (que louait alors le premier président du tribunal civil, Thomas-Louis Desmazières, plusieurs fois président du Conseil général), donne plus d´ampleur à la salle à manger et à la grande chambre d´étage. Extérieurement, la plupart des fenêtres sont modifiées.

En 1851, l´hôtel relève pour la première fois de deux propriétés (les n° 13 et 15), dont la limite est peu après décalée vers l´est, à hauteur de la tour d´escalier, en relation avec la subdivision du logis en trois appartements. Le grand salon du rez-de-chaussée (propriété du docteur Boussinot au n° 15) est de ce fait réduit d´un tiers. En 1855, la création d´un vestibule en avant-corps sur la cour d´entrée correspondante entraîne la destruction de l´aile latérale sud (où se situait une chapelle, selon les marchés de construction du milieu du 16e siècle).

Vers 1896, les lucarnes postérieures orientées rue Toussaint sont fortement restaurées, voire reconstruites pour les deux dernières vers sud-ouest.

D´autres travaux interviennent vers 1937 sous la conduite de l´architecte Gabriel Baron, affectant la partie gauche du logis (n° 13) : parmi les plus notables, reprise complète de la tour d´escalier et destruction de quatre lucarnes sur la rue Toussaint au profit d´une surélévation générale du comble avec pan brisé (sauf à droite de la tour d´escalier sur cour). Le corps de communs sur rue (dit étables au 16e siècle) est flanqué d´un escalier hors-oeuvre dans la cour et de nouveaux percements sur rue font disparaître les dernières ouvertures d´origine (porte charretière et une fenêtre d´étage en plein-cintre). Le corps annexe de service sur le côté gauche de la cour est entièrement reconstruit. Toutes les ouvertures de cette partie gauche de l´hôtel sont cimentées - un certain nombre d´entre elles, modernes.

Le corps d´entrée à galerie sur rue (n° 15) est aussi fortement touché dans ce second quart du 20e siècle : si le portail de 1550 était déjà altéré (ouverture murée, encadrement à pointes de diamant bûché), probablement lors de la création du passage couvert voisin au 19e siècle (entrée actuelle), une autre fenêtre en plein-cintre de l´étage disparaît et des constructions adventices sont érigées dans les cours. Les moulurations plates des ouvertures du grand corps de logis (au n° 15) sont modernes, des années 1930 ou du 3e quart du 20e siècle. La restauration (sur rue) du corps d´entrée à galerie, en 1992, a fait réapparaître un bandeau d´étage et une niche ronde conservant l´empreinte d´un buste, au-dessus de l´actuel passage couvert (du 19e siècle).



Illustrations

Fig. 1
Vue de situation.
Fig. 2
Vue de situation.
Fig. 3
Plan-masse et de situation. D'après le plan cadastral, 1971, éd. 1980, section DH, parcelles 462, 463, éch. 1 : 1 000.
Fig. 4
Plan-masse et de situation. D'après le plan cadastral, 1840, section J, parcelles 358, 359, éch. 1 : 1 000.
Fig. 5
Plan schématique de couverture.
Fig. 6
Plan schématique du rez-de-chaussée.
Fig. 7
Logis : élévation postérieure, photogr., début 20e siècle.
Fig. 8
Vue surélevée du site depuis le nord-est, détail d'une vue aérienne, photogr., 2e quart 20e siècle.
Fig. 9
Edifice depuis l'est (côté jardin) : détail d'une vue aérienne.
Fig. 10
Elévation dominant la rue Toussaint.
Fig. 11
Façade sur rue.
Fig. 12
Communs, partie droite (située au n° 15), élévation antérieure : travée du portail, vue d'ensemble après restauration.
Fig. 13
Portail avec date : 1550.
Fig. 14
Communs, partie droite située au n° 15, élévation antérieure pendant restauration, travée du portail : niche du 2e niveau, partie haute, détail sur le cartouche daté 1550.
Fig. 15
Communs, partie droite située au n° 15, élévation antérieure pendant restauration, travée du portail : niche du 2e niveau, détail sur le trumeau gauche.
Fig. 16
Communs, partie droite située au n° 15, élévation antérieure pendant restauration, 2e niveau, au-dessus de l'actuelle porte cochère : dégagement d'une niche avec empreinte d'une tête, détail.
Fig. 17
Communs, partie droite (située au n° 15) : élévation antérieure, vue d'ensemble après restauration.
Fig. 18
Bâtiment d'entrée (au n° 15) : élévation sur cour, partie gauche.
Fig. 19
Logis, élévation antérieure, partie droite (au n°15) : vestibule hors-oeuvre.
Fig. 20
Cour, face latérale droite (au n° 15) : vestiges de constructions disparues. Emplacement présumé de la chapelle ou d'une galerie (?).
Fig. 21
Logis : élévation latérale droite (au n° 15).
Fig. 22
Rez-de-chaussée, pièce la plus à gauche, mur latéral gauche, cheminée.
Fig. 23
Communs, partie gauche (située au n° 13) : élévation postérieure, sur la cour.
Fig. 24
Logis, élévation antérieure, partie gauche (n°13) avec le corps d'escalier.
Fig. 25
Tour d'escalier, volée en sous-sol : trompe.
Fig. 26
Logis, 1er sous-sol (au n° 13), ancienne cuisine, mur gauche : cheminée.
Fig. 27
Logis, 1er sous-sol (au n° 13), ancien bûcher : mur gauche.
Fig. 28
Logis, 2e sous sol, partie droite (n° 15), angle postérieur droit : mur de l'enceinte urbaine du IIIe siècle.
Fig. 29
Communs, partie droite située au n° 15, élévation antérieure pendant restauration, travée du portail : détail d'appareillage entre la niche du 2e niveau (partie médiane) et la baie adjacente gauche.
Fig. 30
Communs, partie située au n° 15, élévation antérieure pendant restauration, travée du portail : détail d'appareillage entre la niche du 2e niveau (partie basse) et la baie adjacente gauche.
Fig. 31
Communs, partie droite située au n° 15, élévation antérieure pendant restauration, travée du portail : niche du 2e niveau, détail sur le trumeau droit.
Fig. 32
Communs, partie droite située au n° 15, élévation antérieure pendant restauration, travée du portail : détail d'appareillage entre la niche du 2e niveau (partie haute) et la baie adjacente gauche.
Fig. 33
Communs, partie droite située au n° 15, élévation antérieure, le portail après restauration.
Fig. 34
Communs, partie droite située au n° 15, élévation antérieure pendant restauration : dégagement d'un bandeau à la base des baies du 2e niveau.
Fig. 35
Communs, partie droite située au n° 15, élévation antérieure pendant restauration, 2e niveau, au-dessus de l'actuelle porte cochère : dégagement d'une niche avec empreinte d'une tête, vue d'ensemble.
Fig. 36
Passage d'entrée de droite (n° 13) : revers du portail.
Fig. 37
Bâtiment d'entrée (au n° 15), rez-de-chaussée, pièce droite, mur droit : vestige d'arcades.
Fig. 38
Façade postérieure.
Fig. 39
Rue Toussaint, façade sud.
Fig. 40
Logis, 1er sous-sol (au n° 13), réduit voisin de l'ancienne cuisine : mur droit.
Fig. 41
Logis, 2e sous-sol, partie droite (n° 15) : mur antérieur.

Voir

Angers, Présentation de l'aire d'étude Angers intra-muros
Angers, Centre-ville (quartier), Demeures du centre historique (intra-muros)
Angers, Centre-ville (quartier), L'habitat communal

Région des Pays de la Loire - Service du Patrimoine / Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire. Chercheur(s) : Letellier-d'Espinose Dominique ; Biguet Olivier. (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général ; (c) Ville d'Angers. Renseignements : Centre de ressources, 1 rue de la Loire, 44966 Nantes cedex 9, tél. 02 28 20 54 70 - courriel : doc.patrimoine@paysdelaloire.fr - Document produit par Renabl6 : (c) Pierrick Brihaye (Région Bretagne) / Yves Godde (Ville de Lyon)