Inventaire général du patrimoine culturel
Région des Pays de la Loire/Service du Patrimoine
Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire
inventaire topographique

Pays de la Loire, Maine-et-Loire

Angers, Centre-ville (quartier), Harpe (rue de la) 2-10 ; Lionnaise (rue) 46

Couvent de frères mineurs dits des frères sacs, puis d'augustins, puis usine de chaussures Savaton-Hamard

Type de dossier : individuel Oeuvre sélectionnée Date de l'enquête : 1980

Références documentaires

Référence de la même oeuvre dans le domaine MH : PA00108874

Désignation

Dénomination : couvent ; usine de chaussures
Genre du destinataire : de frères mineurs ; d'augustins
Appellation et titre : couvent des frères sacs ; usine de chaussures Savaton-Hamard
Partie(s) constituante(s) non étudiée(s) : cour ; jardin ; église ; cloître ; bâtiment conventuel ; puits ; logement patronal

Compléments de localisation

Référence(s) cadastrale(s) : 1840 G 58 à 60 ; 1980 AO 129, 410, 411 ; 1999 AO 129, 411
Numéro INSEE de la commune : 49007
Aire : Angers intra-muros
Canton : Angers Nord
Milieu d'implantation : en ville

Historique

Commentaire historique : Les frères sacs fondent leur couvent rue de la Harpe vers 1263, sur un emplacement donné par Geoffroy de Châteaubriant. L'église est peut-être bâtie dans ces années ou un peu plus tard par les augustins qui leur succèdent au début du 14e siècle. Vers 1468, elle est restaurée parallèlement à la reconstruction des bâtiments conventuels, grâce à Bertrand de Beauvau, chambellan du roi René : la chapelle dite de la Passion au sud-est de la nef, qui porte ses armes sur l'une des clefs de voûte, est construite peu après, en 1480.
D'autres travaux sont effectués au 16e siècle d'après quelques éléments fossiles : trois baies postérieures du bâtiment ouest du cloître et la cage hors-oeuvre d'un escalier dont la vis a disparu (face nord du même bâtiment). Le couvent s'agrandit en 1535 par l'achat du jardin et du logis de Chambellay, conservé jusqu´à la Révolution (site de l´hôtel d'Ambray, 5 rue Vauvert).

Une nouvelle réfection des bâtiments conventuels est attestée dans le 2e quart du 17e siècle : l'un d'entre eux subsiste aujourd'hui sur la rue de la Harpe, daté 1634 sur la lucarne nord, condamnant une ancienne fenêtre du choeur, toujours visible. D'un corps d'entrée menant vers l'église, dit la grande porte du couvent réédifiée en 1626, ne subsiste qu'un arc visible 46 rue Lionnaise. De cette époque sont également conservés les vestiges d'un porche assurant la liaison entre le cloître et l´entrée de l'église. Celle-ci est alors réaménagée, comme l'indiquent la porte occidentale en plein-cintre de la nef, à l'état de trace, ainsi que plusieurs baies de la chapelle de la Passion. Trois des six chapelles bordant le flanc sud de l'église dataient aussi du 17e siècle. Dans la 1ère moitié du 18e siècle est édifié un puits contre la tour d'escalier du logis ouest, qui est elle-même percée d'oculus à cette époque.

Le couvent est démantelé à la Révolution et l'église est détruite vers 1795, à l'exception d'une partie du mur nord du choeur, appuyée au corps de 1634, et de la chapelle de la Passion, rachetée par les soeurs de la Providence de Saint-Vincent-de-Paul dans le milieu du 19e siècle : on leur doit vraisemblablement le portail néo-gothique en arc brisé qui ferme aujourd'hui cette chapelle.

Le plan cadastral de 1840 reflète les divisions actuelles : une petite propriété sur la rue de la Harpe (bâtiment de 1634 et chapelle de la Passion, section G 59) et une vaste propriété relevant alors des fils du marchand de vin Auguste Vinay (section G 60). Sur cette dernière parcelle, les bâtiments conventuels sont reconstruits en 1871 par l'architecte Julien Moirin pour établir une manufacture de chaussures, sous la direction d'Adrien (ou Alexandre) Savaton, auquel succède Octave Hamard en 1881. Lors de la faillite de l´établissement en 1905, la Ville acquiert les bâtiments pour agrandir l´orphelinat (Ambray, acquis en 1869) et assurer le percement de la « rue Guittet prolongée » jusqu´à la rue Auguste-Michel qui devait traverser les îlots des augustins et des hôtels de Montiron, Andigné et Tinténiac. Mais le projet urbain reste en suspens et l´usine est à nouveau louée à des industriels de la chaussure (Dauge, Aubin, Léon), puis revendue en 1923 à l´entrepreneur Goirand. Celui-ci fait transformer en 1934 le bâtiment de la chaudière en maison d´habitation, sur des plans de L. Fayol.

En 1960, un centre d'apprentissage en bâtiment succède à Goirand après réaménagement des lieux : il s´agit probablement des remaniements de structure observés dans l´aile nord (poteaux et planchers en béton) et de distribution (escaliers). En 1977, l'entreprise de peinture et papiers peints Méray-Brisseau s´y établit (traces de cette occupation dans les étages de l´aile nord), jusqu´au nouveau rachat des bâtiments par la Ville d'Angers. Depuis 1993, l´ancienne usine Savaton-Hamard héberge le service municipal du Patrimoine historique, la base locale de l´INRAP et la Mission locale angevine (jusqu´en sept. 2005). La maison de 1934 a été détruite en 2002.
Datation(s) principale(s) : limite 13e siècle 14e siècle ; 2e moitié 15e siècle ; 2e quart 17e siècle ; 4e quart 19e siècle
Datation(s) secondaire(s) : 4e quart 15e siècle ; 16e siècle ; 2e quart 17e siècle ; 1ère moitié 18e siècle ; 1ère moitié 19e siècle
Date(s) : 1480 ; 1634
Justification de la datation : porte la date ; daté par source ; daté par travaux historiques
Auteur(s) : Moirin Julien (architecte) ; Fayol L. (architecte)
Justification de l'attribution : attribution par source
Personne(s) liée(s) à l'histoire de l'oeuvre : Beauvau Bertrand de (commanditaire) ; Savaton Alexandre (commanditaire) ; Hamard Octave (commanditaire) ; Goirand (commanditaire)

Description

Commentaire descriptif : Le couvent présentait son entrée principale, 46 rue Lionnaise, dont subsistent des vestiges du porche (face extérieure nord). Il comprenait une église à longue nef unique, bordée de chapelles au sud, et un choeur à chevet plat. Au nord, une très vaste cour de cloître (dont est issue la cour de l'usine) était bordée de galeries sous appentis qui s'appuyaient aux bâtiments conventuels. La chapelle de la Passion qui subsiste au sud du choeur présente deux travées voûtées d'ogives.

Usine constituée de trois corps de bâtiments en moellon de schiste (maçonnerie en partie remployée de l'ancien couvent), avec logement patronal au 1er étage dans l'angle sud-ouest de la cour. Traces d'un bureau (d'après plafond subsistant) au 1er étage de l'aile nord. A ce niveau également, la structure d'origine (colonnes en fonte et planchers bois) est conservée et partiellement dégagée.
Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : schiste ; moellon ; enduit partiel
Matériau(x) de couverture : ardoise
Parti de plan : plan allongé
Vaisseau(x) et étage(s) : 1 vaisseau ; sous-sol ; 1 étage carré ; étage en surcroît
Type et nature du couvrement : voûte d'ogives
Parti d'élévation extérieure : élévation à travées
Type de la couverture : toit à longs pans ; appentis ; toit en pavillon ; toit polygonal ; dôme polygonal ; flèche carrée ; pignon couvert ; pignon découvert ; croupe ; noue
Emplacement, forme et structure de l'escalier : escalier demi-hors-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour, en maçonnerie
Technique du décor : sculpture
Représentation : armoiries ; ange, tête d'homme, tête de femme ; cuir découpé
Précision sur la représentation : La voûte nord de la chapelle de la Passion porte les armes de Beauveau. Les culots de voûte de la même chapelle figurent des anges ainsi qu'une tête d'homme et de femme. La lucarne nord du bâtiment conventuel oriental porte un cartouche sculpté, daté (1634).

Intérêt de l'oeuvre

Intérêt de l'oeuvre : à signaler
Elément(s) remarquable(s) : chapelle ; puits

Situation juridique

Statut de la propriété : propriété de la commune ; propriété privée
Date(s) et nature de la protection MH : 1978/12/19 : inscrit MH
Précisions sur la protection : Chapelle en sa totalité ; façades et toitures du bâtiment de 1634 ; grand escalier (cad. AO 128) : inscription par arrêté du 19 décembre 1978.

Vestiges du couvent  : bâtiment est de la cour du cloître et au fond, chapelle de la Passion relevant de l'église.


Illustrations

Fig. 1
Vestiges du couvent  : bâtiment est de la cour du cloître et au fond, chapelle de la Passion relevant de l'église.
Fig. 2
Plan-masse et de situation. D'après le plan cadastral, 1980, section AO, parcelles 129, 410 et 411, éch. 1 : 1 000.
Fig. 3
Plan-masse et de situation. D'après le plan cadastral, 1840, section G, parcelles 58 à 60, éch. 1 : 1 000.
Fig. 4
Localisation des vestiges du couvent et des parties disparues, sur le plan cadastral de 1980, par D. Letellier et O. Biguet.
Fig. 5
Plan restitué du couvent des Augustins, sur le plan cadastral de 1840, d'après F. Comte (Service du Patrimoine historique : archéologie, Ville d'Angers).
Fig. 6
Plan schématique de couverture des bâtiments de l'usine de chaussures.
Fig. 7
Plan général de l'usine Hamard et de l'hôtel d'Ambray, en 1906.
Fig. 8
Plan de situation, extrait du plan dit des Echevins, 1736.
Fig. 9
Usine Hamard : plan du rez-de-chaussée (incluant sur la partie droite l'hôtel d'Ambray-orphelinat municipal de filles). Extrait d'un document général comprenant plan, coupes et élévation, 1906.
Fig. 10
Usine Hamard : plan du rez-de-chaussée. Extrait d'un document général comprenant plan, coupes et élévation de l'usine, 1906.
Fig. 11
Usine Hamard : coupe longitudinale sur le bâtiment des machines dans la cour et coupe transversale sur le bâtiment d'entrée (porche, conciergerie et appartement) dans l'angle sud-ouest de la cour. Extrait d'un document général de l'usine, dessin, 1906.
Fig. 12
Usine Hamard : coupes transversales respectivement sur les corps de bâtiment d'ateliers ouest et nord, en fond de cour et le long de la rue Vauvert. Extrait d'un document général comprenant plan, coupes et élévation de l'usine, dessin, 1906.
Fig. 13
Usine Hamard : coupes transversales sur une petite conciergerie côté rue de la Harpe, sur le bâtiment de la chaudière au centre de la cour et sur un bâtiment d'ateliers en bordure sud de la cour. Extrait d'un document général de l'usine, dessin, 1906.
Fig. 14
Usine Hamard : plan du 1er étage, 1906.
Fig. 15
Maine-et-Loire - Angers - Ancien couvent des augustins. Plan du rez-de-chaussée - Plan des combles, par R. Baldet, [v. 1960].
Fig. 16
Immeuble rue Vauvert n° 6. Immeuble rue Lionnaise n° 46. Ville d'Angers. Etat actuel façades : élévations de l'ancienne usine de chaussures sur la cour, sur les rues de la Harpe et Vauvert, 1985.
Fig. 17
Plan du rez-de-chaussée des locaux actuels de l'ancienne usine Hamard, en 1995.
Fig. 18
Plan du 1er étage des locaux actuels de l'ancienne usine Hamard, en 1995.
Fig. 19
Plan de l'étage de comble et du sous-sol des locaux actuels de l'ancienne usine Hamard (aile ouest et nord), en 1995.
Fig. 20
Prospectus occidinis conventus andegavensis ordinis ermitarum sancti augustini - Veue du couvent des Augustins de la ville d'Angers. Siège épiscopal sur Menie Rivière, vue générale au sud-ouest, vue générale au sud-ouest, eau-forte, par Flamen, 1659.
Fig. 21
L'Eglise des Augustins du costé des Cloistres, dessin, par J. Ballain, 1716.
Fig. 22
Logis situé au nord-est de l'enclos, à l'angle des rues Vauvert et de la Harpe : élévation sur la rue de la Harpe (à gauche sur l'image), dessin, par J. Cesbron-Lavau, [19e siècle ?].
Fig. 23
Vue aérienne. Vue de situation depuis le sud-ouest, à hauteur de la rue Lionnaise.
Fig. 24
Vestige du porche d'entrée sur la rue Lionnaise (n°46), appelé la Porte neuve : face antérieure du portail, sur la rue.
Fig. 25
Vue du porche d'entrée sur la rue Lionnaise (n° 46), appelé la Porte neuve : revers du portail.
Fig. 26
Ancienne galerie d'entrée de l'église, reconstruite au 19e siècle, vue depuis le sud-ouest, le jardin contigu de l'hôtel d'Ambray au premier plan.
Fig. 27
Partie nord de la cour de l'église : au premier plan, arcade liée à des aménagements du XIXème siècle, au fond, mur antérieur d'un petit porche bordant le mur pignon de l'aile ouest des dortoirs.
Fig. 28
Vestige de l'église. Porte occidentale de la nef, face extérieure, à l'état de trace.
Fig. 29
Vestiges de l'église. Première chapelle sud-ouest (dite de Beauvau) : les restes de l'élévation extérieure sud vus depuis la cour de la maison située 44 rue Lionnaise.
Fig. 30
Vestige de l'église. Première chapelle sud-ouest dite de Beauvau, élévation extérieure sud : détail sur le contrefort et l'ébrasement gauche (ouest) de la baie. Prise de vue effectuée depuis la cour de la maison 44 rue Lionnaise.
Fig. 31
Vestige de l'église. Choeur, élévation intérieure nord, adossée au mur pignon de l'aile de la sacristie.
Fig. 32
Vestige de l'église. Choeur, élévation intérieure nord : détail sur une ouverture murée.
Fig. 33
Vestige de l'église. Choeur, élévation intérieure nord : détail sur la seule fenêtre conservée.
Fig. 34
Vestige de l'église. Choeur, élévation extérieure nord : partie haute de la baie conservée (masquée au XVIIe siècle par l'escalier de l'aile de la sacristie).
Fig. 35
Vestige de l'église. Choeur, élévation extérieure nord : détail sur le réseau de la baie conservée (masquée au XVIIe siècle par l'escalier de l'aile de la sacristie).
Fig. 36
Vestige de l'église. Chapelle de la Passion (aux armes de Beauvau). A gauche, élévation mitoyenne avec la chapelle de l'Ange gardien. A droite, élévation sur le choeur.
Fig. 37
Vestige de l'église. Chapelle de la Passion (portant les armes de Beauvau) : élévation côté choeur.
Fig. 38
Vestige de l'église. Choeur : détail de l'arc ouvrant sur la chapelle de la Passion et transformé en portail au XIXème siècle pour les soeurs de Saint Vincent de Paul, sous l'égide de l'évêque Robert Paysan. Son blason ponctue le rouleau inférieur.
Fig. 39
Vestige de l'église. Choeur, mur sud : niche murée à droite de l'entrée vers la chapelle de la Passion.
Fig. 40
Vestiges de l'église. Chapelle de la Passion, mur pignon sud, visible dans la cour située 36 rue Lionnaise.
Fig. 41
Vestiges de l'église. Chapelle de la Passion, 1ère travée : vue intérieure vers le nord-est.
Fig. 42
Vestiges de l'église. Chapelle de la Passion, 2e travée : vue intérieure vers le sud-ouest.
Fig. 43
Vestiges de l'église. Chapelle de la Passion, deuxième travée, détail de l'élévation intérieure sud : vestiges d'arcs non identifiés (liés à un autel ou tombeau?).
Fig. 44
Vestiges de l'église. Chapelle de la Passion, deuxième travée, détail de l'élévation intérieure ouest : vestiges d'arcs non identifiés (liés à des tombeaux ?).
Fig. 45
Vestiges de l'église. Chapelle de la Passion, 1ère travée : clef de voûte aux armes de Bertrand de Beauvau.
Fig. 46
Aile orientale, élévation nord : lucarne de gauche portant la date 1634.
Fig. 47
Vestiges du chevet de l'église, contrefort nord : partie supérieure vue depuis la rue de la Harpe.
Fig. 48
Aile orientale : élévation est, sur la rue de la Harpe. A gauche, contrefort-vestige du choeur, puis pavillon d'escalier du bâtiment conventuel.
Fig. 49
Mur de clôture le long du bâtiment conventuel, sur la rue des Augustins, vue d'ensemble depuis le nord.
Fig. 50
Mur de clôture le long du bâtiment conventuel, sur la rue des Augustins : détail sur la porte.
Fig. 51
Mur de clôture le long du bâtiment conventuel, sur la rue des Augustins : détail sur une baie murée (porte probablement).
Fig. 52
Aile orientale : élévation nord et ouest sur la cour du cloître.
Fig. 53
Vestiges du cloître. Galerie orientale : enfeu de la fin du XVe siècle appuyé à un mur de clôture, au nord de l'aile de la sacristie.
Fig. 54
Aile orientale : élévation ouest, sur le cloître : partie droite.
Fig. 55
Aile orientale : élévation ouest, sur le cloître, partie gauche : détail d'une baie murée du XVème ou XVIème siècle.
Fig. 56
Aile orientale : salle du rez-de-chaussée, mur ouest : vestige de cheminée (?).
Fig. 57
Aile orientale : salle de l'étage, angle sud-ouest. A gauche, porte vers l'escalier.
Fig. 58
Aile orientale : étage de comble, porte du palier.
Fig. 59
Aile orientale : étage de comble, vue d'ensemble, en axe sud-ouest/nord-est.
Fig. 60
Aile ouest, élévation postérieure, vue rasante en axe sud-nord (à droite sur la photo). Au fond, les vestiges de l'escalier hors-oeuvre.
Fig. 61
Aile ouest, élévation postérieure, extrémité nord : portail de l'escalier hors-oeuvre.
Fig. 62
Aile ouest, élévation postérieure, partie nord : baies du rez-de-chaussée.
Fig. 63
Logis patronal de l'usine, dans l'ancienne cour du cloître, élévation antérieure, vers la rue de la Harpe.
Fig. 64
Logis patronal et bâtiment sud de l'usine (à l'emplacement des chapelles de l'église) : vue de situation sur la cour du cloître
Fig. 65
Bâtiment ouest de l'usine (remploi de l'aile occidentale des Augustins) et en fond de cour, bâtiment de la première moitié du XIXème siècle (emplacement du début de la nef) : vue de situation sur la cour du cloître.
Fig. 66
Bâtiment nord de l'usine : élévation sur la cour du cloître et pignon sur la rue de la Harpe.
Fig. 67
Bâtiment nord de l'usine : élévation postérieure, sur la rue Vauvert.
Fig. 68
Aile ouest de l'usine, premier étage, appartement du propriétaire, salon, angle sud-ouest.
Fig. 69
Bâtiment nord de l'usine, volume du premier étage, extrémité est : vestige d'un cloisonnement, avec plafond orné.

Voir

Angers, Présentation de l'aire d'étude Angers intra-muros
Angers, L'architecture religieuse

Région des Pays de la Loire - Service du Patrimoine / Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire. Chercheur(s) : Letellier-d'Espinose Dominique ; Biguet Olivier. (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général ; (c) Ville d'Angers. Renseignements : Centre de Documentation du Patrimoine, 1 rue de la Loire, 44966 Nantes cedex 9, tél. 02 28 20 50 00 ou Service Patrimoine Historique, Inventaire, 2 rue de la Harpe, 49100 Angers, tél. 02 41 86 95 28, patrimhist.inventaire@ville.angers.fr. Document produit par Renabl6 : (c) Pierrick Brihaye (Région Bretagne) / Yves Godde (Ville de Lyon)