Le premier budget primitif du mandat a été voté au conseil municipal du 29 mars, dans le contexte de crise sanitaire que notre pays connaît depuis plus d’un an maintenant.
Conscients de cette situation inédite qui invite à la prudence, les élus ont bâti une stratégie financière sur des fondamentaux solides. À commencer par une maîtrise des dépenses de fonctionnement qui enregistrent une légère hausse (+1,2 %). Lesquelles permettent de maintenir les subventions et les participations à un niveau élevé et de faire face aux dépenses ordinaires et à celles induites par le Covid.
La stabilité des recettes (impôts locaux et dotations de l’État), sans augmenter les taux de fiscalité, va permettre de dégager une épargne et doter ainsi la collectivité d’une capacité d’investissement importante.
65 millions d’euros sont inscrits au rayon des dépenses pour continuer à équiper, aménager et dynamiser la ville. Plus de la moitié (33,5 millions d’euros) sera consacrée au financement des trois grandes priorités du mandat que sont le renouvellement urbain, la culture et la transition écologique. Quant au recours à l’emprunt, il reste contenu afin que la diminution de la dette soit engagée dès cette année (2 millions d’euros).